Une citation de Charlotte Brönte
proposée le dimanche 18 octobre 2009 à 10:44:05Charlotte Brönte - Ses citations
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Ils tenaient le compte du nombre de fois où je fumais et cette innocente marque d’intérêt portée à ma personne suffisait à imprimer à ma cigarette une inclinaison gauche et bizarre tendant à faire croire que je fumais pour la première fois de ma vie ; les cendres se répandaient fréquemment sur mes genoux et leurs yeux vifs suivaient attentivement le trajet du pollen gris tombant de ma main pour s’aller perdre dans la laine.
Le guetteur", Gallimard, Collection "Folio" n°1580, 1990, p.18 -
Vladimir Nabokov
J'avais quinze ans en 1993, lorsque je me suis intéressée pour la première fois à Nicolas Sarkozy, (. .. ), j'aperçois le maire de Neuilly débouler dans une maternelle pour sauver des enfants pris en otage par un forcené. Sur le coup je me suis dis en voila un qui mouille sa chemise.
Discours du congrès de Versailles le 14.01.2007 -
Rama Yade
Pour moi ma mère avait toujours existé et je n'avais jamais sérieusement pensé que je la verrais disparaître un jour, bientôt. Sa fin se situait, comme sa naissance dans un temps mythique. Quand je me disais : elle à l'âge de mourir, c'étaient des mots vides, comme tant de mots. Pour la première fois j'apercevais en elle un cadavre en sursis….
Une mort très douce -
Simone de Beauvoir
'Il me venait maintenant à l'esprit que le monde réel était immense, qu'une perspective changeante d'espoirs, de craintes, de sensations, d'exaltations, attendait ceux qui ont le courage de s'aventurer dans ses étendues pour y chercher, au milieu de ses périls, la véritable connaissance de la vie.
Jane Eyre -
Charlotte Brönte
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