Une citation de Marisha Pessl
proposée le dimanche 17 septembre 2017 à 04:00:01Marisha Pessl - Ses citations
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Papa attirait les femmes comme certains pantalons en laine attrapent les peluches. Je leur avais donné un surnom : les Sauterelles. Certaines, parmi les plus douces et les plus dociles, me faisaient de la peine, car papa avait beau ne jamais leur cacher qu’elles étaient aussi temporaires qu’un bout de scotch, la plupart étaient aveugles à son indifférence.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
Que sont les fantasmes ? Des rêves dont nous nous servons pour nous préserver de la réalité. Notre monde est un plancher rigide qui nous casse le dos si on dort à même le sol.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
Une histoire d'amour au dénouement vraiment poétique ne s'achève pas par des excuses, un pardon ou une enquête sur ce qui a mal tourné - l'option saint-bernard, avec bave et paupières tombantes - mais tout simplement dans un silence digne.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
L'immobilité est stupide. Or la stupidité, c'est la mort.
La physique des catastrophes -
Marisha Pessl
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