Une citation de Stephen Chbosky
proposée le samedi 30 décembre 2017 à 21:30:01Stephen Chbosky - Ses citations
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Je sais que la poésie est indispensable, mais je ne sais pas à quoi.
Réception de M. Jean Cocteau M. Jean Cocteau, ayant été élu par l’Académie française à la place laissée vacante par la mort de M. Jérôme THARAUD, y est venu prendre séance le jeudi 20 octobre 1955, et a prononcé le discours -
Jean Cocteau
Mourir est un travail. Comme naître le fut. Les sages-femmes emploient ce mot travail à propos de l'accouchement. Donner la vie. Recevoir la vie. Rendre la vie. Je ne sais pas à qui. Mai c'est sûr, la rendre à la terre, l'abandonner dans sa peau, renoncer au mouvement d'un corps vigoureux, concentrer tout son être dans l'esprit : tout ce que l'on éprouve de soi devient pensée. Oui, substituer de la pensée à du mouvement, de la puissance mentale à de la force physique. Et peut-être alors prendre son envol dans la bulle irisée de son propre esprit, éternel et universel, souverain et inaltérable.
les autres -
Alice Ferney
Je ne sais pas encore que je viens de rencontrer l'amour. Le seul, le vrai, l'incendiaire. Celui qui vous donne tout avant de tout vous reprendre. Celui qui illumine une vie avant de la dévaster pour toujours.
7 ans après de Guillaume Musso -
Guillaume Musso
Je ne sais pas dans quelle partie du cerveau on pense à quelqu’un comme vous). Vous y avez planté votre tente. Je ne sais pas si vous êtes celui que vos mails laissent deviner. Même si vous ne lui ressemblez qu’un peu, vous seriez déjà exceptionnel. Vos lignes et la manière dont je les interprète laissent paraître un homme tel que je commence à m’imaginer qu’il en existe réellement.
Quand souffle le vent du Nord -
Glattauer
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