Citations sur dot

Gie sé très bien que la deesse M'aïdera, gie n'en dot rien

....Laquelle aura pour son dot 400000 escus

Si vous voulez en tout faire florès, Qu'avec beauté grosse dot soit donnée ; L'amour languit sans Bacchus et Cérès

Elle estoit jeune et n'avoit point encore ouï dire ce mot de dot ; lequel ils disent en certains endroits du royaume, et principalement en Lyonnois, pour douaire ; et pensoit qu'on eust dit que cet homme eut mangé le dos ou l'eschine de la femme

Il arrive, je ne sais par quels chemins, jusqu'à donner en revenu à l'une de ses filles pour sa dot ce qu'il désirait lui-même d'avoir en fonds pour toute fortune pendant sa vie

L'utile et la louable pratique de perdre en frais de noces le tiers de la dot qu'une femme a apportée !

L'utile et la louable pratique, de perdre en frais de noces le tiers de la dot qu'une femme apporte !

Chrysippe, homme nouveau.... arrive.... jusqu'à donner en revenu à l'une de ses filles pour sa dot ce qu'il désirait lui-même d'avoir en fonds pour toute fortune pendant sa vie ; une pareille somme est comptée dans ses coffres pour chacun de ses autres enfants

L'utile et la louable pratique de perdre en frais de noces le tiers de la dot !

Certaines mariées font mesmes consentir à leurs maris, que la moitié de leur dot se gaste en beaux ornemens pour leurs nopces

Cette dot me parut bien mince pour la fille d'un homme que je croyais très riche

On lui donnait pour dot sa place de gouverneur des pages qu'il cédait à son gendre

Vouloir me constituer sa dot de toutes les dépenses qu'elle ne fera point

Je sais qu'avec mes voeux vous me jugez capable De vous porter en dot un bien considérable

Sans dot ! ah ! il n'y a pas de réplique à cela ; on le sait bien ; qui diantre peut aller là contre ?

Quand on ne prend en en dot que la seule beauté, Le remords est bien près de la solennité

Louis le Jeune répudia Léonor d'Aquitaine ; six semaines après, elle épousa Henri duc de Normandie.... à qui elle porta en dot le Poitou et toute la Guyenne jusqu'aux Pyrénées

Je l'épouse, et pour dot je lui donne le monde

Plus d'un bien de l'Église était regardé comme un bien de famille [sous Louis XIII] ; on stipulait une abbaye pour la dot d'une fille ; et un colonel remontait son régiment avec le revenu d'un prieuré