Citations sur grammairien

Vieux pédagogue de la cour, appelé le tyran des mots et des syllabes, et qui s'appelait lui-même le grammairien à lunettes et à cheveux gris.... qui traite gravement l'affaire des gérondifs et des participes, comme si c'était celle de deux peuples voisins l'un de l'autre et jaloux de leurs frontières

Je ne suis grammairien dominant, comme Castelvetro ; je suis grammairien valet, comme vous diriez un régent de la cinquième et ne puis vous offrir que mes yeux, ma main et mon habituation à l'imprimerie

Si le grammairien sait peu de musique, le musicien sait encore moins de grammaire

Racine et Despréaux sont-ils jamais plus poëtes que dans les endroits où il ne se trouve pas une expression qui puisse effaroucher le plus timide grammairien ?

J'aime à voir que ce grammairien [Vaugelas].... mettait une différence infinie entre un puriste et un homme qui sait sa langue

Si seront 20 escolier enfant en grammaire, et 30 en logique et en philosophie, et 20 en theologie ou en divinité ; si aura chascun grammairien par semaine quatre sous, li artien six sous, et li theologien huit sous

Tout grammairien qui n'est pas né dans la capitale, ou qui n'y a pas été élevé dès l'enfance, devrait s'abstenir de parler des sons de la langue

Un autre grammairien ajoute avec raison que tout enclinomène n'est pas enclitique, mais que tout enclitique est enclinomène, ou, en d'autres termes, que les enclitiques sont une espèce dans le genre des enclinomènes

Il y a deux cents trente ans que l'astronome Jean Fabricius a trouvé des taches dans le soleil ; il y a deux mille deux cents ans que le grammairien Zoïle en avait trouvé dans Homère

Le marchand fit son chantre mille écus, et son grammairien trois mille

Tout le soin du grammairien est en l'agencement des paroles ; il s'élargit bien quelquefois jusqu'à l'histoire

Le dialecticien se rapporte au grammairien de la signification des mots

Lucain avait laissé dix livres de sylves, outre la Pharsale et les autres poëmes mentionnés par le grammairien qui a écrit sa vie

Un fameux grammairien nommé Tyrannion, qui demeurait alors à Rome, ayant grande envie d'avoir les oeuvres d'Aristote, obtint du bibliothécaire de Sylla la permission d'en tirer une copie