Dans la litterature du Moyen Âge des le XII(e) siecle sorte de petit poeme narratif en vers octosyllabique ou a la rote sur des sujets serieux ou passionnes empruntes le plus souvent a d’anciennes legendes. Il se disait accompagne a la harpe.
_ Moi qui sais des lais pour les reinesLes complaintes de mes anneesDes hymnes desclave aux murenesLa romance du mal aimeEt des chansons pour les sirenes. (Guillaume Apollinaire; « La chanson du Mal aime »)
(fr_accord_reg|l)
lai (m)
(ucf|laic) laique.
(_note_)
: Il n’est plus usite en francais que dans ces expressions :
Frere lai : Frere servant qui n’est point destine aux ordres sacres
Sœur laie : Sœur converse (qui est seul usite maintenant).
(fr_reg|l)
lai (m)
(ucf|laic) laique.
_ Quele point nobles laiz et clers.Et les clercs plus soudainnement.Pour quoy Il vivent mains saintement.(Bestiaire Marial tire du Rosarius)
Toutes les rimes : Rimes riches,
rimes suffisantes,
rimes pauvres)
avec lai