Citations sur tart. v 3

Je vous le dis encore, armé de ce qu'il a, Vous ne deviez jamais le pousser jusque-là

La vertu dans le monde est toujours poursuivie

Je lui donne ma fille et tout le bien que j'ai, Et, dans le même temps, le perfide, l'infâme, Tente le noir dessein de suborner ma femme

Et me réduire au point [la misère] d'où je l'ai retiré

Juste retour, monsieur, des choses d'ici-bas ; Vous ne vouliez pas croire, et l'on ne vous croit pas

.... à l'orgueil de ce traître, De mes ressentiments je n'ai pas été maître

Je vous l'ai dit cent fois, quand vous étiez petit

Je lui donne ma fille et tout le bien que j'ai ; Et, dans le même temps, le perfide, l'infâme Tente le noir dessein de suborner ma femme

Je vous di Que j'ai vu de mes yeux un crime si hardi.... Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qui s'appelle vu

Les langues ont toujours du venin à répandre, Et rien n'est ici-bas qui s'en puisse défendre

Si j'avais su qu'en mains il a de telles armes...

Juste retour, monsieur, des choses d'ici-bas, Vous ne vouliez point croire, et l'on ne vous croit pas

Nous perdons des moments en bagatelles pures, Qu'il faudrait employer à prendre des mesures

Faut-il vous le rebattre Aux oreilles cent fois, et crier comme quatre ?

Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu, Ce qu'on appelle vu

Aux menaces du fourbe on doit ne dormir point

Les envieux mourront, mais non jamais l'envie

....Aux faux soupçons la nature est sujette ; Et c'est souvent à mal que le bien s'interprète

Je dois interpréter à charitable soin Le désir d'embrasser ma femme !

Vous me feriez damner, ma mère ; je vous di Que j'ai vu, de mes yeux, un crime si hardi