Citations sur fabl. iv 19

Il tenait un moineau, dit-on, Prêt d'étouffer la pauvre bête, Ou de la lâcher aussitôt Pour mettre Apollon en défaut

Un païen qui sentait quelque peu le fagot

Tu te trouverais mal d'un pareil stratagème ; Je vois de loin, j'atteins de même

Un païen qui sentait quelque peu le fagot Et qui croyait en Dieu, pour user de ce mot, Par bénéfice d'inventaire, Alla consulter Apollon

Vouloir tromper le ciel, c'est folie à la terre

Mais, quand soi-même on sait se faire entendre Que la raison nous doit donner la loi, On sent l'honneur de se reprendre, Et le plaisir de ne céder qu'à soi

Tout ce que l'homme fait, il le fait à leurs yeux [des dieux], Même les actions que dans l'ombre il croit faire

Je vois de loin, j'atteins de même

Un païen qui sentait quelque peu le fagot, Et qui croyait en Dieu, pour user de ce mot, Par bénéfice d'inventaire, Alla consulter Apollon

Le dédale des coeurs en ses détours n'enserre Rien qui ne soit d'abord éclairé par les dieux

Le dédale des coeurs en ses détours n'enserre Rien qui ne soit d'abord éclairé par les dieux

Vouloir tromper le ciel, c'est folie à la terre ; Le dédale des coeurs en ses détours n'enserre Rien qui ne soit d'abord éclairé par les dieux