Citations sur la motte

L'impatience gâte tout

Adieu donc, mes pauvres troupeaux ; Le bon Guillot n'est plus votre homme

Nos seigneurs les castors tenant le Canada Se piquent d'être un peuple libre

Le luxe n'y fait point d'outrages à l'humble médiocrité

Si Mme Dacier m'avait donné plus souvent occasion à de pareils aveux, je l'aurais toujours saisie de bon coeur

Cet estomac était amoureux du ragoût, De potages farcis et de fines entrées

Par ces doutes affreux vous me glacez d'horreur

Mais, quand soi-même on sait se faire entendre Que la raison nous doit donner la loi, On sent l'honneur de se reprendre, Et le plaisir de ne céder qu'à soi

À peine se traînait l'invalide animal

C'est par trop imiter les hommes : Nous jugeons par l'événement

Quand Mercure vint la reprendre, Notre époux sentit à la rendre Plus de plaisir qu'à l'enlever

Eh ! messieurs, quel vertige ? Holà donc ; calmez-vous un peu

Vos plaisirs nous coûtent la vie ; Rois, serons-nous toujours des grenouilles pour vous ?

Intérêt obtient tout, reconnaissance rien

L'un neuf, en maroquin, et bien doré sur tranche ; L'autre en parchemin vieux, que les vers grignotaient

Il ouvre seulement la griffe et la referme

Le chat court, mais trop tard, et bien loin de son compte, N'eut ni lard ni souris, n'eut que sa courte honte

Lui dieu ! disait le chat ; eh ! vous n'y pensez pas ; Qui suis-je donc moi qui le mange ?

....La dépendance irrite, Quand on n'estime pas ceux qui donnent la loi

C'est providence de l'amour Que coquette trouve un volage

Rien ne charme à la continue

Dom Jugement, dame Mémoire Et demoiselle Imagination, Quoique n'en dise rien la fable ni l'histoire, Avaient jadis même habitation

Quand le jour éloignait la gent éléphantine

Suspends tous ces emplois frivoles ; Homme vain, c'est trop t'éluder

Et je vois jaillir l'Hippocrène, Sous le pied du cheval ailé