Citations sur amph. ii 3

Qu'appelles-tu sur rien, dis ? - J'appelle sur rien Ce qui sur rien s'appelle en vers ainsi qu'en prose ; Et rien, comme tu le sais bien, Veut dire rien ou peu de chose

La faiblesse humaine est d'avoir Des curiosités d'apprendre Ce qu'on ne voudrait pas savoir

Je ne sais qui me tient, infâme, Que je ne t'arrache les yeux, Et ne t'apprenne où va le courroux d'une femme ?

De ta femme il fallut moi-même t'aviser

Fais à ce discours quelque pause ; Amphitryon revient, qui me paraît content

Cléanthis : Ah ! ah ! tu t'en avises, Traître, de t'approcher de nous ! - Sosie : Mon Dieu ! qu'as-tu ? toujours on te voit en courroux

Qu'ils [les médecins] règlent ceux qui sont malades, Sans vouloir gouverner les gens qui sont bien sains

Je ne sais qui me tient, infâme, Que je ne t'arrache les yeux

Ils nous donnent encore, avec leurs lois sévères, De cent sots contes par le nez

... Je puis avoir fait Des choses dont j'aurais regret, Et dont je n'ai nulle mémoire

Je crains fort pour mon fait quelque chose approchant

Nous avions bu de je ne sais quel vin Qui m'a fait oublier tout ce que j'ai pu faire

Vois, si mon coeur n'eût su de froideur se munir, Quels inconvénients auraient pu s'en ensuivre !

Ah ! ah ! tu t'en avises, Traître, de t'approcher de nous

La chose quelquefois est fâcheuse à connaître ; Et je tremble à la demander