Citations sur coupe.

Si votre femme de sa grâce Ne vous donne aucun suffragant

Qui donna pour arrhes un baiser

Damon Établit des argus à l'entour de sa femme

Il eût perdu son temps alentour de la dame

Là cette belle apprit à manier l'aiguille

Les plaisirs défendus n'auront rien qui vous pique

Pour venir à ses fins, l'amoureuse Nérie Employa philtres et brevets

Ne considérez point des traits qui périront ; C'est terre que cela ; les vers les mangeront

Il n'a pas un moment de repos en sa vie ; Si l'oreille lui tinte, ô dieux ! tout est perdu

Par son mari chère tenue Tout de même qu'auparavant

Comme on ne lui laissait argent ni pierrerie, Le geôlier fut fidèle, elle eut beau le tenter

Déjà l'armée est assez forte Pour faire corps et battre aux champs ; La voilà tantôt qui menace Gouverneurs de petite place, Et leur dit qu'ils seront pendus, Si de tenir ils ont l'audace

Au reste elle n'avait au monde sa pareille à manier un canevas, Filait mieux que Clothon, brodait mieux que Pallas, Tapissait mieux qu'Arachne....

On devient grandelette, Puis grande tout à fait, et puis le serviteur

Les pleurs furent son seul recours

Il était un quidam dont je tairai le nom

Quand vous parlez, c'est dit notable

Je devrais dans ton sang éteindre ce forfait

Cette drogue lui donnerait D'Éraste et l'air et le corsage

Caliste eut liberté, selon le convenant

L'histoire.... est.... Un peu sujette à contredit

L'inquiétude Dont Damon s'est coiffé si malheureusement

Un amant qui sans lui se serait morfondu

On vous met le premier à table ; C'est pour vous la place d'honneur, Pour vous le morceau du seigneur

Ce mal dont la peur vous mine et vous consume