Citations sur tel. v

On veut un roi dont le corps soit fort et adroit, et dont l'âme soit ornée de la sagesse et de la vertu

Autant que la terre de Cypre nous avait paru négligée et inculte, autant celle de Crète se montrait fertile et ornée de tous les fruits par le travail de ses habitants

Je jetai un coup d'oeil sur Mentor

Les colonies grecques sont résolues à demeurer neutres [entre Idoménée et les Manduriens]

Tous les nerfs tendus et les bras entrelacés [de deux lutteurs] comme des serpents, chacun s'efforçant d'enlever de terre son ennemi

Le Samien m'avait porté un faux coup

Son visage changeait à tout moment de couleur

Je demandai à Mentor en quoi consistait l'autorité du roi [dans l'île de Crète]

Le fils d'Idoménée est moissonné dès son premier âge

Le plus malheureux de tous les hommes est celui qui croit l'être ; car le malheur dépend moins des choses qu'on souffre que de l'imagination avec laquelle on augmente son malheur

Qu'un conquérant voisin attaque ce peuple, il ne le trouvera pas peut-être assez accoutumé à camper, à se ranger en bataille, ou à dresser des machines pour assiéger une ville, mais il le trouvera invincible

Le premier combat fut celui de la lutte ; un Rhodien d'environ trente-cinq ans surmonta tous les autres qui osèrent se présenter à lui

Je me dépouillai de mes habits ; on fit couler des flots d'huile douce et luisante sur tous les membres de mon corps, et je me mêlai parmi les combattants [à la lutte]

On a préparé des jeux publics, où tous les prétendants combattront

D'autres s'imaginèrent que [le plus libre de tous les hommes] c'était un barbare qui, vivant de sa chasse au milieu des bois, était indépendant de toute police et de tout besoin

Ouvrage qui était une imitation du grand labyrinthe

Le fruit de leur longue vertu était d'avoir si bien dompté leurs humeurs, qu'ils goûtaient sans peine le doux et noble plaisir d'écouter la raison

On nous reçut avec honneur

Il n'est roi que pour être l'homme des peuples

Mes chevaux s'animèrent et se mirent peu à peu en haleine

Les dieux justes l'ont livré aux Furies

Lâchant les rênes de ses chevaux fumants de sueur, il était tout penché sur leurs crins flottants

Lâchant les rênes à ses chevaux fumants de sueur, il était tout penché sur leurs crins flottants

Un roi qui avait sur ses peuples un empire absolu

Il craignait que je ne passasse entre la borne et lui ; car mes chevaux, mieux ménagés que les siens, étaient en état de le devancer