Citations sur hist. de napol. viii 7

À chaque instant [dans l'incendie de Moscou] croissait autour de nous le mugissement des flammes

Il vaut mieux menacer ces provinces et laisser aux Russes quelque chose à perdre pour les décider à une paix conservatrice

Il le revit [l'incendie de Moscou] dans toute sa violence ; toute cette cité lui parut une vaste trombe de feu qui s'élevait en tourbillonnant jusqu'au ciel et le colorait fortement

Une chaleur pénétrante brûlait nos yeux ; un air dévorant, des cendres étincelantes, des flammes détachées embrasaient notre respiration courte, sèche, haletante et déjà presque suffoquée par la fumée

Comment avancer, comment s'élancer à travers les vagues de cette mer de feu [l'embrasement de Moscou] ?

Les flammes qui dévoraient avec un bruissement impétueux les édifices entre lesquels il [Napoléon à Moscou] marchait, dépassant leur faîte, fléchissaient alors sous le vent et se recourbaient sur nos têtes