Citations sur fabl. iii 12

L'oiseau, prêt à mourir, se plaint en son ramage

Un jour le cuisinier, ayant trop bu d'un coup, Prit pour oison le cygne

... Vivaient le cygne et l'oison : Celui-là destiné pour les regards du maître ; Celui-ci pour son goût

Un jour le cuisinier, ayant trop bu d'un coup, Prit pour oison le cygne, et, le tenant au cou, Il allait l'égorger, puis le mettre en potage

Ainsi, dans les dangers qui nous suivent en croupe, Le doux parler ne nuit de rien

Dans une ménagerie De volatiles remplie

Tantôt on les eût vus côte à côte nager, Tantôt courir sur l'onde et tantôt se plonger

Quoi ! je mettrais, dit-il, un tel chanteur [un cygne] en soupe !

Tantôt on les eût vus côte à côte nager [deux oiseaux d'eau], Tantôt courir sur l'onde et tantôt se plonger

Ainsi, dans les dangers qui nous suivent en croupe, Le doux parler ne nuit de rien

Sans pouvoir satisfaire à leurs vaines envies

Quand Mercure vint la reprendre, Notre époux sentit à la rendre Plus de plaisir qu'à l'enlever