Citations sur virg. ii

Tout ronflait et de bonne sorte

Ulysse l'appelle vaurien, Astrologue, magicien, Et prédiseur de choses fausses

Nous portâmes dans leurs postères Des estocades mortifères

Sueur de sang découla d'elle

Les grands palais tomber à bas, Et n'être plus que des plâtras

Je lui dis : homme qui refuse Ordinairement après muse

Ô Dieu ! la piteuse figure

Mais sans patin, ni pianelle, Elle avait huit grands pieds de haut

Vous avez du vin dans la tête, Et n'êtes qu'une trouble-fête

Et ma tête, ainsi testonnée, D'un chapeau de fleurs fut ornée

Tant la frayeur les talonnait

. Car ma femme, hélas ! Mon unique joie et soulas, Se trouva manquer à la bande

Voici par une sarbacane Ce que lui dit en voix de cane La prophétesse....

Là-dessus le soleil luisit, Et de sa face safranée La forêt fut enluminée

Nous reniflâmes à l'envi ; Car ce tonnerre fut suivi De certaine odeur sulfurée

Et moi je frappe et je refrappe

Gardez-les bien [nos pénates], et dame Veste, Et me conservez comme il faut Ce feu sacré dans un réchaud

Cela fit le conseil résoudre D'envoyer vers Monsieur Phébus, Qui ne parle que par rébus

Chacun y dit sa râtelée

N'a-t-elle point resté derrière Pour raccommoder sa jartière ?

Je ferai voir à ces maroufles Que l'on ne me prend point sans moufles

Est-ce la peur des liberas Et des fréquentes funérailles Qui vous fait quitter nos murailles ?

Ainsi la rivière de Loire, Quand elle sort hors de son lit, Bouleverse, à ce qu'on m'a dit, Ce qu'on appelle la levée

Ce Calchas était un bigot, Pire que Goth ou Visigoth, Un grand faiseur de sacrifices, Grand immolateur de génisses

Il portait son petit neveu, Et tous nos dieux en une hotte