Citations sur est-ce

Dante, pourquoi dis-tu qu'il n'est pire misère Qu'un souvenir heureux dans les jours de douleurs ?... Est-ce bien toi, grande âme immortellement triste, Est-ce toi qui l'as dit ?

Est-ce toi dont la voix m'appelle, Ô ma pauvre muse ! est-ce toi ? Ô ma fleur, ô mon immortelle, Seul être pudique et fidèle Où vive encor l'amour de moi

Et de croire qu'il y ait des dieux ou demi-dieux qui se delectent de meurtre et d'effusion de sang humain, à l'adventure est-ce une folie

Cela, respondit-il, est-ce ma faulte ou la faulte d'elle ? Metrocles respondit : la faulte en est à elle, et l'infortune en est à toy

Or est-ce une nation insatiablement avaricieuse comme ilz montrerent bien alors

Enquiers toy là où descend le soleil, de là où il monte ; cherche comment est-ce que la lune a perdu une si grande lumiere, d'où est-ce qu'elle l'a depuis recouvrée

Pourquoy est-ce que tu as les yeux si agus à voir le mal d'autruy, et si ternis à voir le tien propre ?

Mais qui est-ce qui n'a ses taches et qui n'a eu ses jeunesses ?

À votre avis est-ce pour avoir vaincu les Suisses que François 1er est appelé grand, ou pour le distinguer du petit ?

Pourquoi est-ce un pater noster Que pas un ores ne lui donne ? Pource qu'ayant vin en chantier, Il n'en faisoit boire à personne

Bartholo : Comment ! je vous demande à tous deux s'il est entré quelqu'un chez Rosine, et vous ne me dites pas que ce barbier....L'Eveillé : Est-ce que c'est quelqu'un donc, M. Figaro ?

Est-ce un crime en amour, est-ce de l'entregent, De faire un peu passer de la fausse monnaie Pour beaucoup de bon argent ?

Ici, que vois-je ? est-ce un aigle qui vole, Et du soleil mesure la hauteur ? C'est un ballon ; voici la banderole, Et la nacelle et le navigateur

Pan ! pan ! est-ce ma brune, Pan ! pan ! qui frappe en bas ?

Quoi Lisette, est-ce vous ? Vous avec des bijoux ! Vous avec une aigrette !

Qui est-ce qui demeure là-haut dans ces petites cases ?

Qui frappe l'air, bon Dieu, de ces lugubres cris ? Est-ce donc pour veiller qu'on se couche à Paris ?

Quel langage ! a-t-on jamais parlé de la sorte ? mais dites-moi, vous, trop pleurant Artamène, est-ce que vous n'avez pas envie de combattre ?

Comment donc ! est-ce ainsi que l'on se fait attendre ? Moi-même il faut chez vous que je vienne vous prendre

Ô Dieu ! qu'est-ce donc que l'homme ? est-ce un assemblage monstrueux de choses incompatibles ?

Eh quoi ! le Dieu des chrétiens est-ce un Dieu qui se paye de vaines grimaces, ou qui se laisse corrompre par les présents ?

Qu'est-ce donc que l'homme ? est-ce un prodige ?... est-ce une énigme inexplicable ?

La noblesse n'est souvent qu'une pauvreté vaine, ignorante et grossière ; oisive, qui se pique de mépriser tout ce qui lui manque ; est-ce là de quoi avoir le coeur si enflé ?

Quand est-ce que j'entendrai cette bienheureuse nouvelle : ses femmes [de Paris] ne s'arment plus contre la pudeur, ses enfants ne soupirent plus après les plaisirs mortels, et ne livrent plus en proie leur âme à leurs yeux ?

Puis [les démons] se tournant aux saints anges : hé bien.... est-ce que nous sommes seuls ?