Citations sur ii iii 18

[Le comte de Foix] avoit usage de ruser, de solacier et de gaber

Adonc entra le comte en autres paroles.... et leur remontra en parlant la maniere et la nature des Espaignols, et comment ils sont ords et pouilleux

Si poures et si nuds que les poux vous estrangleront, et les croquerez entre vos ongles

Nonobstant tous ces points et argumens de toutes les doutes que mettre ni avenir y pouvoient, il fut adonc ordonné....

Je fus douze semaines en son hostel, et très bien administré et delivre de toutes choses

Les guerres, les batailles et les rencontres que ces deux rois et leurs adherens et aidans avoient eu l'un et l'autre

...Ceux qui les ont faits et perpetrés [des crimes]

Et le comte de Foix leur fit dire [aux chevaliers partant pour la guerre de Portugal], que ils vinssent tous ensemble au chastel à Ortais ; car il vouloit d'un disner payer leur bien aller

Il ne tient pas à nous, mais au roi et à son conseil...

Routes [bandes] de Bretons qui prenoient et pilloient quant ils trouvoient, et rien ne savoient que c'estoit de payer

Et après sa messe, il [le comte de Foix] les fit tous entrer dans sa chambre de retrait [cabinet]

Aux parlemens qui furent en celle saison à Londres, ot plusieurs consaulx et paroles jetées et reiterées tant pour les Flamands que pour le pays de Portingal

Nous devons bien avoir laissé le royaume de France.... quand nous sommes ainsi ravalés de vilains, et ne nous en veut-on faire droit

Et seroient payés tous ceux qui en ce voyage iroient pour un quartier d'an

Laissez le roi d'Espaigne et le roi de Portingal faire leur guerre ensemble, car elle ne vous compete en rien

Les fortunes de mer sont perilleuses et pernicieuses, et l'air de Portingal chaud et merveilleux

Et à votre povre peuple qui crie merci.... veuillez donner grace et remission

Si autres accidents touchans au royaume d'Angleterre leur venoient sur la main, le royaume de Portingal devoit estre retardé

Un clerc licencié en droit qui estoit archidiacre de Lussebonne

Rompre nos huches, effondrer nos tonneaux de vin

Et disoient que on feroit un grand outrage, si on denuoit le royaume d'Angleterre de deux mille hommes d'armes

Et se taille celle chevauchée à durer un long temps, et par ainsi vous seront cher vendus les gages que vous avez pris

Quand les ambasadeurs de Portingal orent apporté certificats....

Or dit le comte vous parlez bien ; mais je vous dirai qu'il vous aviendra de ce voyage