Citations sur tart. ii 2

Sachez que d'une fille on risque la vertu, Lorsque dans son hymen son goût est combattu

Qui d'une sainte vie embrasse l'innocence Ne doit point tant prôner son nom et sa naissance

Voulez-vous qu'il y coure à vos heures précises ?

La curiosité qui vous presse est bien forte

Allez, ne croyez point à monsieur votre père

J'ai pesé mûrement toutes choses

Votre fille n'est point l'affaire d'un bigot

La curiosité qui vous presse est bien forte, Ma mie, à nous venir écouter de la sorte

Vous avez là, ma fille, une peste avec vous, Avec qui, sans péché, je ne saurais plus vivre

Soit ; mais ne disant mot, je n'en pense pas moins

Enfin, ma fille, il faut payer d'obéissance

Te tairas-tu, serpent, dont les traits effrontés... ?

Orgon : Quoi donc ! la chose est-elle incroyable ? - Dorine : à tel point Que vous-même, monsieur, je ne vous en crois point

Oui, c'est lui qui le dit ; et cette vanité, Monsieur, ne sied pas bien avec la piété

Et tout résolûment je veux que tu te taises

Je ne remarque point qu'il hante les églises

Ses discours insolents m'ont mis l'esprit en feu, Et je veux prendre l'air pour me rasseoir un peu

Laurent, serrez ma haire avec ma discipline

Cet hymen de tous biens comblera vos désirs, Il sera tout confit en douceurs et plaisirs

Comme sage, J'ai pesé mûrement toutes choses

Je me moquerais fort de prendre un tel époux

Sa misère est sans doute une honnête misère

....Qui donne à sa fille un mari qu'elle hait Est responsable au ciel des fautes qu'elle fait

Quoi ? se peut-il, monsieur, qu'avec l'air d'homme sage, Et cette large barbe au milieu du visage....

Ce que je dis, ma fille, n'est point jeu