Citations sur athal. ii 7

Une femme inconnue, Qui ne dit point son nom, et qu'on n'a point revue

Je prétends vous traiter comme mon propre fils

Vous ne leur prononcez mon nom qu'avec horreur

Je prétends vous traiter comme mon propre fils

Quelquefois à l'autel Je présente au grand prêtre ou l'encens ou le sel

J'aurai vu massacrer et mon père et mon frère, Du haut de son palais précipiter ma mère....

Vous cultivez déjà leur haine et leur fureur

Cet enfant de David, votre espoir, votre attente

Son ingénuité N'altère point encor la simple vérité

J'aime à voir comme vous l'instruisez

Aux petits des oiseaux il [Dieu] donne leur pâture

Hé quoi ! vous n'avez point de passe-temps plus doux ?

De vos songes menteurs l'imposture est visible

Tous les jours je l'invoque [Dieu], et d'un soin paternel Il me nourrit des dons offerts sur son autel

C'est lui ! d'horreur encor tous mes sens sont saisis

Athalie : Quels sont donc vos plaisirs ? - Joas : Quelquefois à l'autel Je présente au grand prêtre ou l'encens ou le sel

C'est lui ! d'horreur encor tous mes sens sont saisis

Daigne mettre, grand Dieu, ta sagesse en sa bouche !

Il [Dieu] résiste au superbe et punit l'homicide

Laissez-là cet habit, quittez ce vil métier

Et les fils de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étrangers pour moi

Et sa bonté [de Dieu] s'étend sur toute la nature

Et dans tout ce qu'il dit De vous et de Joad je reconnais l'esprit

Esclave d'une lâche et frivole pitié

Il me nourrit des dons offerts sur son autel