Citations sur quittez

Captif au rivage du Maure, Un guerrier, courbé sous ses fers, Disait : je vous revois encore, Oiseaux ennemis des hivers ; Hirondelles que l'espérance Suit jusqu'en ces brûlants climats, Sans doute vous quittez la France ; De mon pays ne me parlez-vous pas ?

Avant la fin du jour ne quittez point ces lieux

Princesse, quittez donc logogriphe et rébus ; Ce sont les vains efforts des esprits de bibus

Oh ! qu'il me paraît vain et frivole ce monde que vous quittez !

Mon cher, quittez ce rôle ; Vous m'ennuyez beaucoup, si vous vous croyez drôle

Charlatans, faiseurs d'horoscope, Quittez les cours des princes de l'Europe, Emmenez avec vous les souffleurs tout d'un temps ; Vous ne méritez pas plus de foi que ces gens

Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci

Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci

Charlatans, faiseurs d'horoscope, Quittez les cours des princes de l'Europe ; Emmenez avec vous les souffleurs tout d'un temps

Ne songez [vieillard] désormais qu'à vos erreurs passées, Quittez le long espoir et les vastes pensées

On m'a dit que vous ne quittez guère Mme de Montespan ; je n'en suis point jalouse : sûrement elle ne diminuera pas votre amitié pour moi

Remettez-vous l'âme en repos, Quittez ces funestes propos

Non, tout de bon quittez toutes ces incartades ; Le monde par vos soins ne se changera pas

.... Quoi ! je vous vois, maraude ? Vite, sortez, friponne, allons, quittez ces lieux, Et ne vous présentez jamais devant mes yeux

Ah ! quittez d'un censeur la triste diligence

Ah ! quittez d'un censeur la triste diligence

Laissez là cet habit, quittez ce vil métier

Quittez, seigneur, quittez ce funeste langage

Malheureux ! vous quittez le maître des humains Pour adorer l'ouvrage de vos mains

Vous voyez, je suis reine, et n'ai point d'héritier ; Laissez là cet habit, quittez ce vil métier [de servir dans le temple à Jérusalem]

Malheureux ! vous quittez le maître des humains Pour adorer l'ouvrage de vos mains

Laissez-là cet habit, quittez ce vil métier

Ah ! quittez d'un censeur la triste diligence

Et vous quittez ainsi la puissance absolue

Mme de Coulanges me disait l'autre jour : Quittez vos humides Rochers ; je lui répondis : Humide vous-même ; c'est Brévanes qui est humide