Citations sur beren. i 4

Il a repris pour vous sa tendresse première

J'obtins l'aveu d'Agrippa votre frère

Quoiqu'attendu, madame, à l'empire du monde

Quand je verrai ces yeux armés de tous leurs charmes, Attachés sur les miens

Il n'avait plus pour moi cette ardeur assidue, Lorsqu'il passait les jours attachés sur ma vue

Seigneur, de ce départ quel est donc le mystère ?

De mon heureux rival j'accompagnai les armes

Et je viens donc vous dire un éternel adieu

De mon heureux rival j'accompagnai les armes

En faveur de Titus vous pardonnez le reste

Et, si de ses amis j'en dois croire la voix

Peut-être sans colère Alliez-vous de mon coeur recevoir le tribut

Vous fûtes spectateur de cette nuit dernière....

Enfin, après un siége aussi cruel que lent

Mon coeur faisait serment de vous aimer sans cesse

Ce nom qu'à tous moments votre bouche répète

Surtout ne craignez point qu'une aveugle douleur Remplisse l'univers du bruit de mon malheur

Il dompta les mutins [les Juifs de Jérusalem].... Et laissa leurs remparts cachés sous leurs ruines

Lorsque, pour seconder ses soins religieux [de Titus], Le sénat a placé son père entre les dieux

Si j'en crois ses serments redoublés mille fois

Dans l'Orient désert quel devint mon ennui !

Muet, chargé de soin et les larmes aux yeux, Il ne me laissait plus que de tristes adieux

Il ne faut point mentir, ma juste impatience Vous accusait déjà de quelque négligence

Je pars plus amoureux que je ne fus jamais

Jugez de ma douleur, moi dont l'ardeur extrême, Je vous l'ai dit cent fois, n'aime en lui que lui-même