Citations sur fabl. iv 3

Si vous entrez partout, ainsi font les profanes

Est-ce un sujet pourquoi Vous fassiez sonner vos mérites ?

Nomme-t-on pas aussi mouches les parasites ?

Je [moi mouche] rehausse d'un teint la blancheur naturelle

Je vous enseignerai par là Ce que c'est qu'une fausse ou véritable gloire

Ni mon grenier ni mon armoire Ne se remplit à babiller

La mouche et la fourmi contestaient de leur prix

La dernière main que met à sa beauté Une femme allant en conquête, Est un ajustement des mouches emprunté

Nomme-t-on pas aussi mouches les parasites ?

Les mouches de cour sont chassées

Et la dernière main que met à sa beauté Une femme allant en conquête, C'est un ajustement des mouches emprunté

Les mouches de cour sont chassées ; Les mouchards sont pendus : et vous mourrez de faim, De froid, de langueur, de misère, Quand Phébus régnera sur un autre hémisphère

Je n'irai, par monts ni par vaux, M'exposer au vent, à la pluie ; Je vivrai sans mélancolie

Et la dernière main que met à sa beauté Une femme allant en conquête, C'est un ajustement des mouches emprunté

Comment ! disait-il [l'âne].... Ce chien, parce qu'il est mignon, Vivra de pair à compagnon Avec monsieur, avec madame, Et j'aurai des coups de bâton !

Je hante les palais, je m'assieds à ta table

Que de terres encor restent à découvrir ! La fiction surtout est un pays immense

Pendant que celle-ci [la fourmi], chétive et misérable, Vit trois jours d'un fétu qu'elle a traîné chez soi

Mais, ma mignonne, dites-moi, Vous campez-vous jamais sur la tête d'un roi, D'un empereur ou d'une belle ?