Citations sur dial.

Puis donc qu'amour te fait d'amants provision

Mais ne peut-on savoir le mal qui te possède ?

Son poil.... crépelu ressemble une toison de soie

J'apprenais à mes yeux à former des appâts

J'accommodais ma grâce, agençais mon visage

Sans languir si longtemps aux abois

Pour essayer à mes maux quelque paix

Un mal pour qui.... J'eus la bouche fermée et le coeur si transi

Ainsi, toujours en transe, en ce nouveau souci

Au moins, avant la mort, dis où le mal te touche

Tout m'est à contre-coeur, hormis leur souvenance

Quel soin.... Fait que je ne suis plus ce que je soulais être ?

Pourquoi non ? c'est erreur de la simplesse humaine

Étant de sa plaie et d'amour oppressé

Et ses yeux, comme morts, de nuages se couvrent

Quand ces bergers navrés, tout moites de leur sang....

J'étuve de mes pleurs leurs blessures sanglantes

Avouez, Catilina, que vous vous ennuyez ici étrangement

Qui sont ces deux bergers dont ton coeur est époint ?

Ah ! Dieu ! qu'un divers mal diversement me point !

J'en sais tout le discours, mais dis-moi....

Ce traître.... Entra dedans mon coeur sous couleur d'amitié

Sa taille haute et droite et d'un juste corsage

Sa bouche est de coral

Et le copiste [de musique] Jean-Jacques, prenant dix sous par page de son travail pour s'aider à vivre, est un Juif que son avidité fait universellement mépriser