Citations sur sat. x.

....Sans historier le tout par le menu

Un souvenir fâcheux apporte en mon esprit Ces histoires de morts lamentables, tragiques, Dont Paris tous les ans peut grossir ses chroniques

[Un valet] Heurtant table et tréteaux, verse tout [un plat] sur mes chausses

La porte.... Et, s'ouvrant à mon heurt, je tombai sur le ventre

Un homme par la main hasardément me prit

Et, sur le ton grondeur lorsqu'elle [la femme revêche] les harangue [ses valets], Il faut voir de quels mots elle enrichit la langue

Elle lit Rodriguez, fait l'oraison mentale, Va pour les malheureux quêter dans les maisons, Hante les hôpitaux, visite les prisons

L'homme en ses passions toujours errant sans guide

De ces nobles sans nom, que, par plus d'une voie, La province souvent en guêtres nous envoie

Qui leur fit à la tin enfiler la guérite

Mais qui pourrait compter le nombre de haillons, De pièces, de lambeaux, de sales guenillons, Dont la femme, aux bons jours, composait sa parure ?

Grondant entre mes dents, je barbote une excuse

Ses souliers grimaçants vingt fois rapetassés

Et déjà le notaire a, d'un style énergique, Griffonné de ton joug l'instrument authentique

Et pour ses factions il n'ira point en Grève

Un limier boiteux.... Qu'on avait d'huile chaude et de soufre graissé

Il faut en devinaille [pour deviner] être maître gonin

Car, grâce au droit reçu chez les Parisiens, Gens de douce nature et maris bons chrétiens

Et ma chambre garnie auprès de Saint-Eustache

Vous me promettez de vous bien conduire ; mais quelle garantie en ai-je ? Homère et non pas moi t'en doit la garantie

Mais n'étant point garant des sottises d'autrui

Se plaindre d'un gano qu'on n'a point écouté

C'est un limier boiteux de gales damassé

Enfin, bornant le cours de tes galanteries, Alcippe, il est donc vrai, dans peu tu te maries ?

Donner chez la Cornu rendez-vous aux galants