Citations sur bossuet

Dès que nous sommes si malheureux que d'être tout à fait d'accord avec nos péchés

Tous les auteurs du temps ou des temps voisins gardent un pareil silence

Ils [certains hommes] envient la condition des bêtes, qui n'ont que leur corps à soigner

L'unité de Dieu s'établissait tellement, qu'à la fin l'idolâtrie n'en parut pas éloignée

Attendre à la mort, combien dangereux !

C'est en effet la vraie grâce de l'aumône, en soulageant les besoins des pauvres, de diminuer en nous d'autres besoins, c'est-à-dire ces besoins honteux qu'y fait la délicatesse, comme si la nature n'était pas assez accablée de nécessités

Il voulait que le prix fût adjugé au trésor public

La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place

Ici [le fait qu'on emportait chez soi l'eucharistie consacrée] on [les protestants] ne trouve point de sortie, qu'en disant que tout cela était un abus

De tout cela [les qualités du peuple romain] s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus ferme et la plus suivie qui fut jamais

Dieu promet de tenir son peuple dans une durable et parfaite tranquillité

Ils se sont laissés aller à des actions brutales

Voici ce qu'elle écrit au ministre de ses charités

Elle poursuit : Dieu me donnera peut-être de la santé pour aller servir cette paralytique

Sans entrer dans la question, si Dieu a résolu de toute éternité....

Les misérables qui n'ont rien à perdre

Enfin et voici le fort de l'objection : n'y a-t-il pas des choses ajoutées dans le texte de Moïse....

L'exemple d'une vie si réglée

Il ne lui dit rien de fâcheux et n'ose le reprendre

Les paroles du distribuant

Ceux qui criaient contre les abus

Ce rire dédaigneux qu'excitent les personnes simples lorsqu'on leur voit croire des choses impossibles

Saint Grégoire de Nazianze, que l'Orient appelle son théologien par excellence

Ne lui dites pas que la vie d'un premier prince du sang, si nécessaire à l'État, doit être épargnée

Il n'appartient pas aux esclaves fugitifs qu'il faut aller reprendre par force, de s'asseoir au festin avec les enfants et les amis