Citations sur hist. ii 5

Toutes les ruines sont réparées [en Judée], les villes et les bourgades sont magnifiquement rebâties

Dans les affaires pressantes, les particuliers et les républiques vouaient à Vénus des courtisanes, et la république ne rougissait pas d'attribuer son salut aux prières qu'elles faisaient à leur déesse

On ne peut lire sans étonnement les honneurs qu'il fallait à Vénus, et les prostitutions qui étaient établies pour l'adorer

Les Juifs vivent en paix et en liberté sous la puissance des rois de Syrie, et ils n'avaient guère goûté une telle tranquillité sous leurs propres rois

Si, durant cinq cents ans, le peuple de Dieu fut sans prophète, tout l'état de ces temps était prophétique

Ce roi ne professait qu'en apparence la religion judaïque

Il fallait bien qu'il y eût quelque puissance ennemie de ce nom sacré [de Dieu] qui, ayant entrepris de le ravilir, poussât les hommes à l'employer dans des choses si méprisables, et même à le prodiguer à des sujets si indignes

Cette dignité sacrée [le souverain sacerdoce chez les Juifs] fut le prix de la flatterie

Athènes, la plus polie et la plus savante de toutes les villes grecques, prenait pour athées ceux qui parlaient des choses intellectuelles, et c'est une des raisons qui avaient fait condamner Socrate

Daniel n'avait donné que six ans à ce prince impie pour tourmenter le peuple de Dieu ; et voilà qu'au terme préfix il apprend à Echatane les faits héroïques de Judas

Les pharisiens multiplièrent les pratiques extérieures

Ptolomée, fils de Lagus, surprit Jérusalem, et en emmena en Égypte cent mille captifs

Toute la terre était possédée de la même erreur

Qui oserait raconter les cérémonies des dieux immortels et leurs mystères impurs ? Leurs amours, leurs cruautés, leurs jalousies et tous leurs autres excès étaient le sujet de leurs fêtes, de leurs sacrifices, des hymnes qu'on leur chantait, et des peintures que l'on consacrait dans leurs temples ; ainsi le crime était adoré et reconnu nécessaire au culte des dieux

Il exerce des cruautés inouïes

Ils s'acquirent un grand crédit par la pureté de leur doctrine

Les Romains, les Grecs étaient les plus aveugles sur la religion

Athènes, la plus polie et la plus savante de toutes les villes grecques, prenait pour athées ceux qui parlaient des choses intellectuelles

Pour assouvir son avarice

Ils se rendirent les arbitres de la doctrine

Le pontificat qu'il rend arbitraire

Ils n'étaient pas moins en admiration de leur rétablissement fait contre toute apparence

Le sacerdoce auquel la royauté était annexée

Ils n'étaient pas moins en admiration de leur rétablissement fait contre toute apparence, dans le temps et par celui qui leur avait été marqué

L'oeuvre de Dieu s'acheminait