Citations sur bossuet

La difficulté est qu'il n'y a point d'adresse aux évêques

Elle se soumit plus que jamais à cette main souveraine qui tient du plus haut des cieux les rênes de tous les empires

Comme les peuples marchaient chacun en sa voie

Il disait, en parlant de cette prison malheureuse, qu'il y était entré le plus innocent de tous les hommes, et qu'il en était sorti le plus coupable

Je m'en vais voir comment Dieu me traitera ; mais j'espère en ses miséricordes

Ne dites pas à ce zélé magistrat qu'il travaille plus que son grand âge ne le peut souffrir

Plus soigneux d'étaler de l'érudition que de parler avec précision

La modération que le monde affecte n'étouffe pas les mouvements de la vanité ; elle ne sert qu'à les cacher

Ô mort, éloigne-toi de notre pensée, et laisse-nous tromper pour un peu de temps la violence de notre douleur par le souvenir de notre joie

On [les mages] lui donne [à l'enfant Jésus] de l'or comme à un roi ; l'encens honore sa divinité ; et la myrrhe, son humanité et sa sépulture, parce que c'était le parfum dont on embaumait les morts

Ô nuit désastreuse ! ô nuit effroyable ! où retentit tout à coup comme un éclat de tonnerre cette étonnante nouvelle : Madame se meurt, Madame est morte !

Il faut expliquer que ce qu'on appelle pâtir et souffrir ou endurer en cette matière [l'oraison passive] n'est pas le pâtir et le souffrir qui est opposé à la joie et accompagné de douleur, mais le pâtir et le souffrir qui est opposé au mouvement propre et à l'action qu'on se peut donner à soi-même

Ne nous arrêtons pas à remarquer qu'on les nommait [les béguards] quiétistes, à cause qu'ils se glorifiaient de leur quiétude ; c'est Rusbroc qui nous l'apprend

Être promptement délivré des misères de cette vie

L'idolâtrie même sentait dans notre religion une force victorieuse contre laquelle les faux dieux ne pouvaient tenir

Qui voit Aristote louer ces heureux moments où l'âme n'est possédée que de l'intelligence de la vérité...

Je m'en vais voir si ces mains toutes-puissantes [Dieu] me seront favorables ou rigoureuses

Celui-là [Turenne] d'un air plus froid, sans avoir jamais rien de lent

Vous verrez avec quelle prudence elle traitait les affaires ; et une main si habile eût sauvé l'État, si l'État eût pu être sauvé

Il ne servait à rien à notre sujet d'employer quatre grandes pages à expliquer le fait de Synesius, ni de se montrer savant dans une chose si triviale

La distribution dont il flattait le peuple

Ce peu d'heures saintement passées parmi les plus rudes épreuves, tiennent lieu toutes seules d'un âge accompli

Ô Alger [bombardé par Duquesne], dans ta brutale fureur tu te tournes contre toi-même, et tu ne sais comment assouvir ta rage impuissante

Ceux qui s'ingèrent auprès des rois, qui se veulent rendre nécessaires dans les cours

Il faut recevoir ces dons de Dieu avec dilatation