Citations sur course

Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa course est bornée, Son pied sonore et vigilant

Ô des fleuves français brillante souveraine, Salut ! ma longue course à tes bords me ramène

Un tel preparatif est beau, dit-il, pour une course et carriere mais je crains le retour et la continue de la guerre

Les armez à la legere firent une course sur eulx

Courir en lice à qui gaigneroit le prix de la course double

Un tel preparatif est beau pour une course et carriere, mais je crains le retour et la continue de la guerre

Courir en lice à qui gaigneroit le prix de la course double

Ilz en prirent, à course de cheval, plusieurs qu'ils trouverent esgarez et errans çà et là parmy les champs

Il prit à la course le fan, qui estoit une petite biche de pelage estrange

Muse, c'est à ce coup que mon esprit timide Dans sa course élevée a besoin qu'on le guide

Quelquefois dans sa course un esprit vigoureux, Trop resserré par l'art, sort des règles prescrites, Et de l'art même apprend à franchir leurs limites

Quelquefois dans sa course un esprit vigoureux, Trop resserré par l'art, sort des règles prescrites

Quelquefois dans sa course un esprit vigoureux, Trop resserré par l'art, sort des règles prescrites

D'est lui qui vous dira par quels transports heureux Quelquefois dans sa course un esprit vigoureux, Trop resserré par l'art, sort des règles prescrites

Mais l'homme, sans arrêt dans sa course insensée, Voltige incessamment de pensée en pensée

Mais l'homme, sans arrêt dans sa course insensée, Voltige incessamment de pensée en pensée

La course dans les chariots

Comme il n'y a point de fontaine dont la course soit si tranquille, à laquelle on ne fasse prendre par la résistance la rapidité d'un torrent

Un moment qui s'enfuit d'une course précipitée et irrévocable

Celui qui prend sa course avec tant d'ardeur dans cette vaste carrière des choses licites, doit craindre qu'étant sur le bord, il ne puisse plus retenir ses pas

Le temps, dont la nature est de n'être jamais que dans un moment qui s'enfuit d'une course précipitée et irrévocable

Il [le Sauveur] a couru après [la nature humaine] d'une course précipitée, sautant les montagnes, c'est-à-dire les ordres des anges, comme il est écrit aux Cantiques

Comme il n'y a point de fontaine dont la course soit si tranquille, à laquelle on ne fasse prendre par la résistance la rapidité d'un torrent

Tout mon être dépendant du temps, dont la nature est de n'être jamais que dans un moment qui s'enfuit d'une course précipitée et irrévocable

Comme il n'y a point de fontaine dont la course soit si tranquille, à laquelle on ne fasse prendre par la résistance la rapidité d'un torrent