Citations sur millev.

Plus tendrement la palombe soupire

Tyndarides brillants, dont l'éclat toujours pur Des turbulentes mers blanchit le noir azur

J'en atteste Amurat ; sa noble frénésie De conquête en conquête a traversé l'Asie

De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre

À vous le dé ; vous méritez la place Quelque peu mieux que messieurs tels et tels

Sa mère, peu de temps hélas ! Vint tous les soirs dans la vallée Visiter la tombe isolée ; Mais son amante ne vint pas

D'un besoin curieux l'invincible ascendant Rend sa vie aux dangers et sa flotte aux orages

Voici l'heure de la prière Et les tintements du beffroi ; Vous qui priez, priez pour moi

Et tandis qu'il m'assied au trône de Racine, [il] Aiguise contre moi l'épigramme assassine

Elle dit et s'endort ; vers la plaine odorante, Non moins prompt que le daim cherchant la biche errante, Voilà que, l'oeil ardent, accourt le bien-aimé

Un bon vieillard, pieux anachorète, Depuis vingt ans sous ce toit résidait

De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre

Au bord de Seine errait le beau Loïs ; Isis un jour vit sa grâce enfantine

Sur le chaume de ces demeures Déjà le soir s'est abaissé