Citations sur marot

Ô le bon gain de mort qui nous delivre Tout à un coup de tribulation

....car c'est celuy, par qui foisonnera Ton champ, ta vigne, et qui te donnera Plaisante loge entre sacrez ruisseaux

Mais je trouve que c'est outrance Que l'un a trop, et l'autre rien

Bienheureuse est la main qui la ploya, Et qui vers moy de grace l'envoya ; Bienheureux est, qui apporter la sceut

Mais, monseigneur, ce que demander j'ose, Des quatre pars n'est pas si grande chose

... Car ainsi que les roys, De nouveau mis en leurs nobles arroys, Mettent dehors en pleine delivrance Les prisonniers vivans en esperance

Elle a de l'engin largement

Un bon vieillard portant chere joyeuse, Confortatif, de parolle amoureuse, Et s'appelloit bon Espoir par son nom

Mille ans ains sa venue

De tes habits les plis ne sentent qu'ambre

Afin qu'on vist en main son caducée, Qui gens endort

Amour a fait ma langue desployer, Et ma main dextre à t'escrire employer

Vien-ça chacun, je te veux faire entendre Et te monstrer la voye où tu dois tendre

Il n'y a cil qui son souhait ne fasse D'estre avec toi

Certes tu es le plus cruel amant Qui onques fut, d'ainsi m'avoir fraudée

Maistre et remettre, aussi cueurs et obscurs, Ce sont beaux mots : mais en rithme ils sont durs

Bref il congneut que toute nation Ployoit soubs luy comme au vent le sion

C'est le heraut, qui nous a annoncé, Que Dieu avoit de tout poinct renoncé De se venger contre nous de l'injure Que lui avoit fait nostre ame parjure

L'escorce vert

Le cimitiere est un verd bois, Et les murs, hayes et buissons

.... Comme à ouyr la marine flotter Contre la rive....

Lors eux, cuidans que fusse en grand credit, M'ont appellé monsieur à cry et cor

Et resserrez vos blanches mammelettes

Nostre repas deffaict, En desservant les metz à nous submiz

Veillez, veillez pour pleurer cette perte : Ou, si dormez, en dormant songez-la ; Songez la mort, songez le tort qu'elle a