Citations sur desmahis

Les bruyants états de Cythère S'y tenaient sur la fin du jour : De tous les frères de l'amour, Il n'y manquait que le mystère

Ayez une aventure, on vous en prête cent

Il change l'amour en dédain, Donne au mépris un air affable, Fait quitter Adonis pour écouter Vulcain ; Il mène au bal celui que la foi tyrannise ; Celui qui ne croit point, il le mène à l'église ; Ce monstre est le respect humain

Les grâces en petit corset, Les ris avec leur air follet

[Un critique] Recueillant de petits suffrages, Et s'appesantissant sur de petits ouvrages, Croit dicter les arrêts de la postérité

Le souvenir est l'ombre des plaisirs

La retraite sans solitude, Avec le repos sans ennui

Je puis dans sa course légère Arrêter le temps qui nous fuit, Et, loin du tumulte et du bruit, Dans l'indolence littéraire, Voir couler mollement des jours....

Si ses armes sont la satire, Mon bouclier c'est le mépris

Des premiers feux de notre aurore Au crépuscule de nos jours Il est un intervalle encore Que doivent remplir les amours

Tandis qu'au sein de la mollesse, Fuyant la table ouverte et le souper prié

Vous avez donc des projets sur la nièce ?

Je venais de quitter ; elle, d'être quittée ; Et nous nous sommes pris je ne sais trop comment

Si du reste de ma jeunesse Je puis jouir en liberté Et consacrer à la mollesse Des jours filés par la santé

L'oeil a peine à suivre ses traces [du mercure] ; Mais quand ce métal est fixé, Il fait qu'on se voit dans nos glaces

Est-il rien, dans le vrai, qui ne fasse causer ?

Et d'un goût peu constant, d'un esprit trop volage Arrêter le papillonage Et fixer l'instabilité

Le dieu de tous les arts, l'ingénieux Voltaire, A formé mon esprit, et vous mon caractère

À parler sentiment son mérite consiste