Citations sur moliere

Eh bien ! ne voilà pas de vos emportements !

De ces souliers mignons de rubans revêtus Qui vous font ressembler à des pigeons pattus

Non, rien de plus méchant n'est sorti de l'enfer

J'ai ouï condamner cette comédie à certaines gens, par les mêmes choses que j'ai vu d'autres estimer le plus

Douter d'une trahison que tant d'apparences confirmaient

Et si vous vous plaignez de moi, Je ne sais pas de bonne foi, Ce qu'il faut pour vous satisfaire

Dites-moi.... De quel air il vous plaît que ceci soit traité ? Parlerai-je, monsieur, selon ma conscience, Ou comme chez les grands on le voit usité ?

La curiosité qui vous presse est bien forte

Un moi de vos ordres jaloux, Que vous avez du port envoyé vers Alcmène, Et qui de vos secrets a connaissance pleine, Comme le moi qui parle à vous

Les médecins ont raisonné là-dessus, et ils n'ont pas manqué de dire que cela procédait, qui du cerveau, qui des entrailles, qui de la rate, qui du foie

Et, si nous ne mourons en vous sauvant le jour

Une affaire pareille à celle de tantôt N'est pas assurément ici ce qu'il nous faut

Voilà par sa mort un chacun satisfait

Et j'abhorre des noeuds Qui deviendraient sans doute un enfer pour tous deux

Ces yeux te verront faire la capriole

Lorsqu'un franc campagnard avec longue rapière, Montant superbement sa jument poulinière, Qu'il honorait du nom de sa bonne jument

La beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne

Comme l'esprit a grand empire sur le corps

Qui se donne à la cour, se dérobe à son art ; Un esprit partagé rarement s'y consomme, Et les emplois de feu demandent tout un homme

Eh bien ! qu'est-ce que cela, soixante ans ? voilà bien de quoi

J'ai vu le marchand flamand qui, avec les autres créanciers, a obtenu depuis huit mois sentence contre vous

Philaminte : Comment ! vous avez peur d'offenser la coquine ! Vous lui parlez d'un ton tout à fait obligeant ! - Chrysale : Moi ? point ; allons, sortez. (D'un ton plus doux) Va-t'en, ma pauvre enfant

.... Ma foi, je ne sais pas Quand on verra finir ce galimatias

Nous avons ici, madame, un ballet qui nous revient, que nous ne devons pas laisser perdre

Si je suis affligé, ce n'est pas pour des prunes, Et je le donnerais à bien d'autres qu'à moi, De se voir sans chagrin au point où je me voi