Citations sur moliere

D'abord leurs escoffions ont volé par la place, Et, laissant voir à nu deux têtes sans cheveux, Ont rendu le combat risiblement affreux

Quel est le cabaret honnête Où tu t'es coiffé le cerveau ? Était-ce un vin à faire fête ? Était-il vieux ou nouveau ?

Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville

Vous voyez sous quel masque de sympathie et de rapports de sentiments je me déguise pour lui plaire

J'observe comme vous cent choses tous les jours, Qui pourraient mieux aller prenant un autre cours

Votre monsieur Purgon, par exemple, n'y sait point de finesse : c'est un homme tout médecin depuis la tête jusqu'aux pieds

Ah ! ah ! qui des deux croire ? Ce discours au premier est fort contradictoire

Mais vous êtes du monde ; et, dans votre sagesse, Vous savez excuser le feu de la jeunesse

Le malheureux tison de ta flamme secrète, Le drôle avec lequel.... - avec lequel ? poursui

Vous devriez brûler tout ce meuble inutile.... M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans Cette longue lunette à faire peur aux gens

Que son bien la plupart n'est point en ces quartiers

D'un jambon que j'allai déterrer, Je coupai bravement deux tranches succulentes, Dont je sus fort bien me bourrer

J'en essayerai tant de toutes les manières, que quelque chose enfin nous pourra réussir

Moi je guéris par des paroles, par des sons, par des lettres, par des talismans et par des anneaux constellés

Et ne l'écouter pas est le faire enrager

Allons.... je ne pourrais me retenir, et il vaut mieux quitter la place

Je ne saurais mourir quand je suis regardé, Et mon trépas ainsi se verrait retardé

Voilà sa folie qui le tient

Si je savais qui ce peut être, je lui donnerais tout à l'heure de l'épée dans le ventre

Tiens-toi un peu, enfonce ton bonnet en méchant garçon ; campe-toi sur un pied ; mets la main au côté ; fais les yeux furibonds ; marche un peu en roi de théâtre

C'est un esprit que je redoute, et qui n'est pas de trempe à se laisser mener comme celui de sa mère

Chacun fait ici-bas la figure qu'il peut

Le ciel a banni de mon âme toutes ces indignes ardeurs que je sentais pour vous, tous ces transports tumultueux d'un attachement criminel

Jamais on ne parle de vous que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu

Et je me sens par ma planète à la malice un peu porté