Citations sur soeurs

Que n'est-ce encore ce temps.... Quand les trois soeurs [les Parques] pouvaient n'être pas inflexibles, Et qu'au prix de ses jours, de leurs ciseaux terribles On rachetait des jours plus chers !

Molière a terminé sa vie Entre deux soeurs de charité

Sur le haut Hélicon leur veine méprisée Fut toujours des neuf soeurs la fable et la risée

Quelle verve indiscrète Sans l'aveu des neuf Soeurs vous a rendu poëte ?

Quelle verve indiscrète Sans l'aveu des neuf soeurs vous a rendu poëte ?

Une des soeurs fera, certain jour de la semaine, un catéchisme et une instruction familière dans une salle

La princesse Marie, pleine alors de l'esprit du monde, croyait, selon la coutume des grandes maisons, que ses jeunes soeurs devaient être sacrifiées à ses grands desseins

Jamais soeurs ne furent unies par des liens ni si doux ni si puissants

Socrate.... n'aura pas voulu s'échapper de la prison contre l'autorité de ces lois [d'Athènes], de peur de tomber après cette vie entre les mains des lois éternelles, lorsqu'elles prendront la défense des lois civiles, leurs soeurs ; car c'est ainsi qu'il parlait

Jamais soeurs ne furent unies par des liens ni si doux ni si puissants

L'agriculture et l'industrie sont deux soeurs qui, par leur société entre elles, ont enfanté la société générale

Ces airs bucoliques qui rappellent au Suisse exilé son père, sa mère, ses soeurs et les bêlements des troupeaux de sa montagne

Les moments que les frères et les soeurs passent réunis sous l'aile de leurs vieux parents

Autrement eust esté a craindre que les auditeurs ne fussent devenus amoureux des soeurs prescheuses

Ils sçavent bien que le roi, ses freres et soeurs sont incoulpables de tous les malheurs qui sont causez par l'insatiable rapacité de ces princes estrangers [les Guise]

Mesdames [les soeurs du roi] savaient combien est cruelle pour ceux qui souffrent, la perte du médecin dont ils attendent la conservation de leur vie ou la fin de leurs douleurs

Ce beau nom d'héritière 'a de telles douceurs, Qu'il devient souverain à consoler des soeurs [qui ont perdu un frère]

Les soeurs crient miracle, et chacune ravie Conçoit pour son vieux père une pareille envie

Vous et vos soeurs les vertueuses, Vous vous retranchez sur l'esprit

Je te commande De tes freres et soeurs aymablement traiter

De ces riches atours une autre [plante] dédaigneuse Laisse à ses soeurs l'azur, la pourpre, le saphir, Et se livre sans voile aux baisers du zéphyr

Je ne vois plus ces soeurs dont les soins délicats Apaisaient la souffrance, ou charmaient le trépas

Les soeurs de Pernette estoient jalouses de son aise, et de ce qu'elle marchait la première

Ces trois soeurs qui, d'Odin ranimant les soldats, Couraient, volaient, frappaient, hurlaient dans les combats

Elles craignaient qu'un refus obstiné Ne les brouillât avec nos soeurs de Nantes : Ainsi jugea l'État embéguiné