Citations sur madame de sevigne

Ce sera à lui à courre et il courra

Ne quittez jamais le naturel, votre tour s'y est formé, et cela compose un style parfait

Je voudrais bien que vous ne me missiez point dans le nombre de ceux que vous trouvez qui souhaitaient votre départ

Il n'a pas trouvé le moment de dire un mot en faveur de mon fils

Il [le prince d'Orange] fut surpris, comme s'il n'avait pas ouï parler qu'il y eût une armée en Flandre

Vous vous vantez de ne rien faire dans votre cabinet ; il me semble pourtant que vous êtes une substance qui pense beaucoup ; que ce soit du moins d'une couleur à ne vous point noircir l'imagination

Vous qui prêchez si bien les autres, deviez-vous faire mal à vos petits yeux à force d'écrire ?

Ce qui s'est passé me cause un déchirement dont vous savez les raisons

Je chanterai fort bien le contre-pied de la chanson

Me voilà plantée au coin de mon feu, une petite table devant moi, labourant depuis deux heures mes lettres d'affaires de Bretagne

Sa femme [de Charles de Sévigné], qui est d'un des bons noms de la province [Bretagne]

Nous ne pouvions quitter cette abbaye ; vous savez comme on s'amuse à lanterner à ce petit pont, il faisait un temps admirable

Il avait chargé le maréchal en flanc

Vous lui conterez un peu [à l'abbé de Bruc] l'état de nos affaires et tout ce que vous faites pour les rétablir

Adieu, ma très chère et très loyale, j'aime fort ce mot ; ne vous ai-je pas donné du cordialement ?

Je vous souhaite, madame, la continuation des grâces [de Dieu] que vous avez et l'augmentation, parce qu'on n'en saurait trop avoir ; après ce ton si relevé, pourrais-je vous parler du besoin que j'ai que mon fermier....

J'écumais votre chambre des fâcheux dont je la voyais remplie

Rafraîchissez-vous à la Garde

Je suis fâchée que vous ayez perdu un de mes paquets ; comme ils sont pleins de nouvelles, cela nous dérange, et vous ôte du train de tout ce qui se passe

Elle m'étale avec plaisir toute sa belle âme

Le titre de nouveau venu dans la province le rend fort considérable [Charles de Sévigné], et le met dans toutes les affaires

Ce vent vous avez jetée sous une arche à deux doigts du pilier

Soit par le sang échauffé et subtilisé, soit par la poitrine, vous devez toujours craindre le desséchement

Ce sont des jeux de mains et des gaietés incroyables

M. de Pompone m'a priée de dîner demain avec lui et Despréaux, qui doit lire sa poétique