Citations sur madame de sevigne

Mon zèle se refroidit ; et, soit une bonne ou une sotte chose, je ne veux pas surpasser la mère de Chantal, qui serait proprement vouloir aller par delà paradis

On a confronté Penautier à la Brinvilliers

Ils voulurent défrayer tout le train

Mme de Monaco mène cette affaire

Pendant que les autres jouaient au mail, je lui faisais conter ....par quelle aventure elle avait épousé M. de Chaulnes

Si je ne vous vois arriver, je croirai que cela vient de la guerre que cette préférence aura émue entre eux

Je suis si accoutumée à me voir confondue sur la plus grande partie de mes désirs, que je ne parle de l'avenir qu'en tâtonnant

Ha ! mon enfant, que je voudrais bien vous voir un peu, vous entendre, vous embrasser, vous voir passer, si c'est trop que le reste !

Je comprends votre tristesse de la mort de ce jeune chanoine.... je vois, comme vous, la Providence marquée dans l'opiniâtreté de ne lui pas donner ce qui le pouvait guérir

Elle se décontenança si fort qu'elle ne put soutenir cette attaque

Je voudrais qu'il mît les échecs à la place du hère

La sueur nous surmontait

Et en se cachottant il avait donné les ordres pour le soir

Si je croyais mon coeur, j'enverrais paître toutes mes petites affaires.... et, pour quatre jours qu'on a à vivre, je vivrais à ma mode et suivrais mon inclination

Quel plaisir prenez-vous à dire du mal de votre esprit ?... où pêchez-vous cette fausse et offensante humilité ?

Elle paraît baignée dans l'excès de la joie

Elle avait ouï dire que M. de Grignan était le plus beau garçon qu'on eût su voir

Je me trouve fort à mon aise toute seule

Cela serait plaisant que votre fille ne fût pas bien faite

Il n'est plus question, comme vous dites, ma bonne, des supputations que notre amitié nous faisait faire ; c'est un calendrier tout commun qui nous règle présentement

C'est ce qui se fait [trouver de l'argent casuel] en mangeant ici une partie de ce que me doit mon fils, et en réservant tout mon revenu pour le payement de mes dettes ; ce sommeil m'était d'autant plus nécessaire....

Adieu, ma très chère belle, je vous dirai donc que je vous aime, sans crainte de vous ennuyer, puisque vous le souffrez, en faveur de mon style ; vous faites grâce à mon coeur en faveur de mon esprit, n'est-ce pas justement cela ?

Conduisez-vous, gouvernez-vous, si vous aimez votre cher fils, votre maison, votre mari, votre maman, vos frères ; enfin vous êtes l'âme et le ressort de tout cela

Dieu fait tout pour le mieux

Songez.... non, ne songez à rien, laissez-moi tout songer dans mes grandes allées, dont la tristesse augmentera la mienne