Citations sur jean de la fontaine

Par des voeux importuns nous fatiguons les dieux

Autrefois le rat de ville Invita le rat des champs, D'une façon fort civile, à des reliefs d'ortolans

Un rat.... raillait le marcher un peu lent De la bête de haut parage [un éléphant]

Le ciel permit qu'un saule se trouva, Dont le branchage après Dieu le sauva [un enfant tombé à l'eau]

Femme n'était qui ne s'en mît

Un roitelet pour vous [roseau] est un pesant fardeau

Il la [la Fortune] trouve assise à la porte De son ami plongé dans un profond sommeil

La priant [la fourmi] de lui prêter [à elle cigale] Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle

Comble-moi cette ornière ; as-tu fait ? Oui, dit l'homme. Or bien je vas t'aider, dit la voix, prends ton fouet

Je vous enseignerai par là Ce que c'est qu'une fausse ou véritable gloire

Un bûcheron perdit son gagne-pain, C'est sa cognée....

Un ânier, son sceptre à la main

Le voile n'est le rempart le plus sûr Contre l'amour

Point de clinquant, jupe simple et modeste

L'aigle avait ses petits au haut d'un arbre creux, La laie au pied, la chatte entre les deux

La nation des belettes, Non plus que celle des chats, Ne veut aucun bien aux rats

Dès que la mère eut indice certain De sa grossesse....

Seigneur aventurier, s'il te prend quelque envie De voir ce que n'a vu nul chevalier errant

Quoi ! moi ! quoi ! ces gens-là ? l'on radote, je pense ; à moi les proposer [en mariage] ! hélas ! ils font pitié

Les médiocres gens Vinrent se mettre sur les rangs ; Elle, de se moquer

Le peuple vautour, Au bec retors, à la tranchante serre, Pour un chien mort se fit, dit-on, la guerre : Il plut du sang ; je n'exagère point

Le bien nous le faisons, le mal c'est la fortune, On a toujours raison, le destin toujours tort

Si Votre Majesté Est curieuse de beauté, Qu'elle fasse venir mon frère ; Aux plus charmants il n'en doit guère.... Là-dessus Astolphe répond.... Voyons si nos beautés en seront amoureuses, Si ses appas le mettront en crédit

Eh ! qu'importe quel animal ? ...Le point est de l'avoir ; car le trajet est grand

Un souriceau tout jeune et qui n'avait rien vu