Citations sur jean de la fontaine

Restait sans plus d'y disposer la femme : De prime face elle crut qu'on riait

La ruse la mieux ourdie Peut nuire à son inventeur : Et souvent la perfidie Retourne sur son auteur

Vénus [dans un tableau] a le casque en tête et une longue estocade

Ô vous [femmes] dont la blancheur est souvent empruntée

À ces mots il se livre Aux transports violents de l'indignation

Humains, il vous faudrait encore à soixante ans Renvoyer chez les barbacoles

Vous moquez-vous d'en douter seulement ? Par votre foi, le Mogor est-il homme Que l'on osât de la sorte affronter ?

Le jeune homme s'émeut voyant peint un lion : Ah ! monstre ! cria-t-il, c'est toi qui me fais vivre Dans l'ombre et dans les fers

Messieurs de ville eurent en vérité bonne part de l'honneur en cette illustre fête

Regarde d'où provient L'achoppement qui te retient ; Ôte d'autour de chaque roue Ce malheureux mortier, cette maudite boue Qui jusqu'à l'essieu les enduit

Je crains en ce cas pour leur peau [de mes enfants] ; C'est hasard si je les conserve

Le sage Ésope dans ses fables Nous en donne un exemple ou deux ; Celui qu'en ces vers je propose, Et les siens, ce sont même chose

C'est proprement la caverne au lion

....Les simples monseigneurs N'étaient d'un rang digne de ses faveurs

Un bruit qui courait d'elle en toutes ces provinces

Quand l'eau courbe un bâton, ma raison le redresse

Elle eût de part en part Percé son coeur

Si vous fussiez tombé, l'on s'en fût pris à moi, Cependant c'était votre faute

Gardez-vous sur votre vie, D'ouvrir que l'on ne vous die, Pour enseigne et mot du guet : Foin du loup et de sa race

C'est l'image de ceux qui bâillent aux chimères

Notre désespéré le [trésor] ramasse et l'emporte, Laisse là le licou, s'en retourne avec l'or

Il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année

Chacun a son défaut, où toujours il revient

.... Car étant de nature à piller ses pareils, mainte mésaventure L'aurait fait retourner chez lui Avec cette partie [oreilles] en cent lieux altérée

Tes choux, tes aulx, enfin tout ton tracas