Citations sur jean de la fontaine

Croquons-les ; le galant ne fit pas à demi

Encor que le pouvoir au désir ne réponde, Nos hôtes agréeront les soins qui leur sont dus

Acante ne se peut tenir de réciter certains couplets de poésie

Louis XIV réduisant l'hérésie aux derniers abois

Si j'apprenais l'hébreu, les sciences, l'histoire

Le lièvre et la perdrix, concitoyens d'un champ, Vivaient dans un état, ce semble, assez tranquille

Son bois [d'un cerf], dommageable ornement, L'arrêtant à chaque moment....

Par où le drôle en put croquer, Il en croqua ; femmes et filles, Nymphes, grisettes, ce qu'il put, Toutes étaient de bonne prise

Mieux vaut goujat debout qu'empereur enterré

Le sanglier, rappelant les restes de sa vie, Vient à lui [archer], le découd, meurt vengé sur son corps

Va, tu n'es qu'un gros âne

....Je l'ai vue avant vous [l'huître], sur ma vie. - Eh bien ! vous l'avez vue, et moi je l'ai sentie

Il [le roi] vous l'écrit, c'est beaucoup que d'écrire Pour un roi tel qu'est le roi notre sire

Il [le serpent] lève un peu la tête, et puis siffle aussitôt, Puis fait un long repli

Mes arrière-neveux me devront cet ombrage

Quoi ! dit-il, sans mourir je perdrai cette somme ! Je ne me pendrai pas ! Et vraiment si ferai, Ou de corde je manquerai

Elle rougit, et n'en fut que plus belle

Il n'est pas toujours bon d'avoir un haut emploi

Tantôt on les eût vus côte à côte nager [deux oiseaux d'eau], Tantôt courir sur l'onde et tantôt se plonger

Elle tombe, et, tombant, range ses vêtements ; Dernier trait de pudeur même aux derniers moments

À ces mots il se couche ; et chacun étonné Admire le grand coeur, le bon sens, l'éloquence Du sauvage ainsi prosterné

Un vieux renard, mais des plus fins, Grand croqueur de poulets, grand preneur de lapins.... Fut enfin au piége attrapé

Ils m'ont laissé ravir notre pauvre Robin, Robin mouton, qui par la ville Me suivait pour un peu de pain

Ils trouvaient aux champs trop de quoi

Messieurs les courtisans, cessez de vous détruire ; Faites, si vous pouvez, votre cour sans vous nuire ; Le mal se rend chez vous au quadruple du bien