Citations sur vadÉ

Quelle dégaine ! Mais le voilà ; voyez la belle dégaine

Sans fréquenter les Porcherons, Le rendez-vous des bons lurons

Et bravement vous lui détache Un coup de poing sur la moustache

Tu veux toujours gouailler les autres

Chacun d'eux suivi de sa femme, à l'image de Notre-Dame, Firent un ample gueuleton

Cependant, las de godailler, Nos riboteurs veulent payer

Parlez donc, monsieur le garçon ; Apportez du pivois, hé vite !

Nous dont les labeurs d'une année N'acquitteraient point la journée Qu'un sous-traitant passe à dormir

En bonnet à grand papillon

Quand sur ses vieux jours un garçon Devient le mari d'un tendron

.... Quand des farauds, Sur l'oreille ayant leurs chapeaux....

Viens d'amitié boire nous trois un coup de paf

J'en fais un heurtoir de grand'porte

Aimer comme un charme, s'est dit pour aimer beaucoup, être ensorcelé par la passion

Dans les gardes françaises J'avais un amoureux.... Mais de la colonelle C'est le plus scélérat ; Pour une péronnelle, Le gueux m'a planté là

Pour l'oublier, il se soûla, Et la scène finit par là

Lorsque leur ange tutélaire Les conduit vers un inventaire, Pour elles c'est un coup du ciel ; Un jour sur le pont Saint-Michel Il s'en fit un ; elles s'y rendent ; En arrivant elles entendent : à vingt sols la table de bois ! Une fois, deux fois et trois fois, Adjugez !...

Bijou de la foire Saint-Ovide, un homme de rien, qui vaut peu

Un soin est nuisible Donné sans besoin

Tu veux toujours gouailler les autres, Et puis ils t'enverront aux peautres

Faut mettre ta tendresse au rencart

Il fallut vider ou lotir, Cela veut dire répartir L'achat des meubles fait entre elles [les revendeuses]