Citations sur gueux

C'étaient des gueux adorés des souverains et des peuples, que les consuls et les dictateurs de ce temps-là

Grâce à moi [muse] qu'il rendit moins folle, D'être gueux il se consolait

Sages et fous, gueux et monarques, Apprenez un fait tout nouveau

Des gueux chantons la louange ; Que de gueux hommes de bien !

[Ces fous] Qui, toujours assignant et toujours assignés, Souvent demeurent gueux de vingt procès gagnés

N'imite pas ces fous.... Qui toujours assignants et toujours assignés, Souvent demeurent gueux de vingt procès gagnés

Je n'ai pas voulu te parler au logis, de peur que mon gueux de mari ne nous écoutât

Au lieu de m'assommer, cours donc après ce gueux de Lamoureux ; c'est lui qui porte le magot [20 000 fr. volés]

Il fut remis en prison pour des lettres escrittes en chiffre, qu'un gueux portoit dans un baston creux

Lorsqu'un noble plus gueux qu'Irus, Plus larron que Rodilardus, Et plus valeureux que Pompée, Pour vous emprunter dix écus Sur sa noblesse de bibus, Vous fait une prosopopée

Je veux le faire, moi, mourir sous le bâton, Ou le gueux dès ce soir quittera ma maison

Il y a quatre cents ans que, dans ma famille, nous sommes gueux de père en fils, pour n'avoir pas voulu nous mésallier

Quand les gueux avaient vu la reine tousser, cracher, râler, être sale et radoter un peu, ils ne voulaient plus se charger de ses années

Mais il aime sa fille et voudra s'informer ; S'il apprend qu'il est gueux ?

Mon maître ? fi donc ! voilà un plaisant gueux pour une fille comme Angélique !

De quelle façon tu recevrais un gueux qui, tout à coup tombé des nues, viendrait te saluer au milieu d'une rue

Un gueux qui, quand il vint, n'avait pas de souliers, Et dont l'habit entier valait bien six deniers

Les gueux ont leurs magnificences et leurs voluptez, comme les riches

De ces gueux fainéants ....Dont le sort est écrit sur les os d'un cornet [les dés], Dont les commandeurs sont les carmes et les sannes, Et qui font chez Fridor [maître d'une maison de jeu en 1671] toutes leurs caravanes

Payez moy, disoit le rostisseur au gueux qui mettoit son pain sur la fumée du rost

Le duc, trois gueux pour sa cuisine, chascun compté par quatre mois, et doit le gueux en la cuisine commander, ordonner et estre obei

Plusieurs sont gueux de l'hostiere, souffreteux et miserables, lesquelz sont descendus de sang et ligne de grandz roys et empereurs

Puis les gueux en gueusant trouvent maintes délices, Un repos qui s'égaye en quelque oisiveté

Et cent écus de rente étaient comme rien pour un homme sur qui les quidams et les gueux venaient incessamment fondre comme des étourneaux

Dans les gardes françaises J'avais un amoureux.... Mais de la colonelle C'est le plus scélérat ; Pour une péronnelle, Le gueux m'a planté là