Citations sur bern. de st-pierre

...Son balancement annuel dans l'écliptique était dégénéré alors en une titubation journalière

Ces trompettes de différents partis se sont rendus les dispensateurs de la louange et du blâme

Quelque grande que soit la pluie, un petit oiseau n'en reçoit qu'une goutte à la fois

Les sombres sapins même se festonnent alors du vert le plus tendre

Votre tante, ajouta-t-il en s'en allant, ne peut pas traîner plus de deux ans

Les pâles violettes de la mort se confondaient sur ses joues avec les roses de la pudeur

L'ambre ne répand pas un parfum si doux que les objets touchés par l'objet que l'on aime

La pureté de l'air et la douceur du climat nous permettaient de dormir sous un ajoupa au milieu des bois

Dans cette vie sauvage et vagabonde, ses yeux se cavèrent, son teint jaunit

La mousse.... offre.... une chaude litière au renne, qui voiture et nourrit le Lapon

Des bosquets de palmistes élèvent çà et là leurs colonnes nues et longues de plus de cent pieds surmontées à leurs sommets d'un bouquet de palmes

Les fièvres.... empêcheront toujours les Européens d'y faire des établissements fixes

Les étoiles étincelaient au ciel et se réfléchissaient au sein de la mer, qui répétait leurs images tremblantes

Assis sur l'herbe sous un berceau de bananiers qui leur fournissait à la fois des mets tout préparés dans leurs fruits substantiels

Je la compare à un maçon servi par un apprenti qui lui apporte tous les matériaux dont il a besoin, tandis qu'il les dispose par assises et par chaînes pour élever son édifice

Ils croyaient que le monde finissait où finissait leur île

Sur le soir, la pluie cessa, le vent alizé du sud-est reprit son cours ordinaire

Il y a des tatamaques, des bois d'ébène...

Je n'entends pas de fois les airs ravissants et mélancoliques d'un rossignol caché sous un feuillage que je ne sois tenté de croire....

La raquette chargée de fleurs jaunes fouettées de rouge

Le docteur, qui pensait toujours aux trois questions qu'il avait proposées au chef des pandectes, fut ravi de la réponse du paria

Le gazon qui verdoyait autour

....Notre grand Frédéric passe une partie de son temps à jardiner et à cultiver des melons

Par la comparaison que je fais de leur sort au mien, ils me font jouir d'un bonheur négatif

Ils dégradent aussi les bords des ruisseaux en y fouillant les oignons des nymphaea dont ils vivent