Citations sur piron

Ceux qui l'ont séparé d'avec son adversaire, Disent qu'il s'y prenait en brave cavalier

À sauver, s'il se peut, par mes travaux constants, Et leurs noms et les miens des injures du temps

Comment diable, à merveille, à miracle ! courage !

.... à son rire moqueur Le serpent de l'envie a sifflé dans son coeur

Tenez ; si vous tombez, je parle sans pitié

Et vous ne trouvez pas l'aventure impayable ?

Et si c'était un monstre ? - Oh ! tais-toi ; tu m'excèdes ; Les personnes d'esprit sont-elles jamais laides ?

Moi, j'ai par un sonnet riposté galamment

.... Un diable de neveu Me fait par ses écarts mourir à petit feu

Ah ! le drôle de jargon que vous parlez-là ! c'est comme les messieurs de notre château jaspillent

Un valet veut tout voir, voit tout et sait son maître, Comme à l'observatoire un savant sait les cieux, Et vous même, monsieur, ne vous savez pas mieux

.... Tout bellement ! vous prenez trop de soin ; Et c'est aussi pousser l'interrogat trop loin

L'Olympe voit en paix fumer le mont Etna ; Zoïle contre Homère en vain se déchaîna

J'ai quelque affaire en tête, Qui de moi ne ferait chez vous qu'un trouble-fête

Un procédé si noble est-il imaginable ?

Oh ! qui va rondement Ne daigne pas entrer en éclaircissement

Comment veut-il juger d'une pièce en effet Au tintamarre affreux qu'au parterre on a fait ?

C'est un homme isolé qui vit en volontaire, Qui n'est bourgeois, abbé, robin, ni militaire

Ah ! j'en suis d'avis, faites le scrupuleux

Le rôle des vieillards n'est pas de longue haleine ; Les deux premiers venus le rempliront sans peine

....Suivaient de loin deux grisons bien dispos, Non des grisons de l'espèce indolente De celui-là qui porta sur son dos Le palfrenier du fameux Rossinante ; C'étaient vraiment bien d'autres animaux.... deux cordeliers

Mais, sous un autre nom, ma muse, en tapinois, Se fait, dans le Mercure, applaudir tous les mois

La fille de Stenon Promise à Frédéric, détenue en esclave

Une haie vive entourait cet étang ; Sur cette haie il vint des cantharides

Monsieur le capitoul, vous avez des vertiges