Citations sur ib. iv 5

J'ay une des plus belles, plus advenantes, plus prudes femmes en mariage, que soyt en tout le pays de Xainctonge

Que la main des muets s'arme pour son supplice

À nouvel accident trouvons nouveau remède

J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie

Peut-être, si la voix ne m'eût été coupée, L'affreuse vérité me serait échappée

Sa douleur a trahi les secrets de son âme, Et ne vous permet plus de douter de sa flamme

Ne forçons point notre talent ; Nous ne ferions rien avec grâce

Est-il juste après tout qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse ?

Quel penchant, quel plaisir je sentais à les croire !

C'est dans le gouvernement républicain que l'on a besoin de toute la puissance de l'éducation

D'un maudit lansquenet le caprice outrageant M'oblige à te prier de vouloir bien me rendre Cent louis que de moi le besoin te fit prendre

Ce disant, Dindenaut desguainoyt son espée ; Panurge recourt vers Pantagruel à secours

Chimène, remets-tu ta querelle en sa main ?

Quel changement affreux a formé cet orage ?

Et quoique d'un autre oeil l'éclat victorieux Eût déjà prévenu le pouvoir de vos yeux

De quoi te chargeais-tu ? pourquoi ta bouche impie A-t-elle, en l'accusant, osé noircir sa vie ?

Tu lui parles du coeur, tu la cherches des yeux

Les Romains n'avaient pas, comme les Grecs, la passion des représentations dramatiques

Je veux bien vous guérir D'une erreur dangereuse où vous semblez courir

Que tu pénètres mal le fond de mon courage !

Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause et mourir de plaisir !

J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie

Les hommes, n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, se sont avisés, pour se rendre heureux, de ne point y penser

Cet esclave, sa mort, ce billet malheureux

On voit luire des feux parmi des étendards