Citations sur destouches

Pour une fille qui vient de Paris, voilà des révérences bien gauches

Je viens donc vous jurer que vous avez en moi Un protestant tout prêt à vous donner sa foi

Moins j'aurai de pareils, et plus j'aurai raison

Le comte de Tufière est-il ici, mon coeur ? - Oui, monsieur, le voici. - Cher comte, serviteur

Finette : .... pour l'expédier il lui propose un jeu Dont l'inventeur, je crois, mériterait le feu. - Le baron : De quel jeu parles-tu ? - Finette : C'est au trente et quarante

C'est le faible commun des gens de qualité, Leurs titres bien souvent font tout leur patrimoine

Je ne la connais pas ; mais j'aime son minois, Et mon air lui revient, à ce que j'aperçois

Quoi ! par un feint amour vous m'auriez donc leurrée !

Je refuserais pour mon gendre le plus riche parti de France, qui ne pourrait pas prouver que ses ancêtres ont marché aux premières croisades

J'ai toujours détesté tout partage inégal

Ah ! vous allez lâcher quelque fadeur

Ce vieux fou de baron voulait se mettre aussi de la partie

Si ce n'est que cela, remettez-vous, mesdames, Je ne m'offense point des injures des femmes

Avec tous nos défauts [nous femmes], nous gouvernons les hommes, Même les plus huppés

Épargnez-vous, marquis, ces froides railleries

Oui, oui, fourber un fourbe est une oeuvre louable

....Dites-lui qu'on sait son mariage, Et conseillez-lui fort de s'armer de courage, Afin de recevoir galamment aujourd'hui Certains petits brocards qui vont fondre sur lui

....à quoi vont les revenus du comte ? - Je ne saurais vous dire à quoi cela se monte

Et conseillez-lui fort de s'armer de courage, Afin de recevoir galamment aujourd'hui Certains petits brocards qui vont fondre sur lui

Sinon, gare l'instant de la conclusion

Je fais mon plus grand soin du soin de me parer, Rien ne me flatte plus qu'une mode nouvelle

Vous seriez cause qu'on me fouetterait jusqu'au sang

J'ai trouvé le moyen d'apprivoiser le diable ; j'en ai fait un mouton

Apprends de moi, vieux Nostradamus, que la science ne se mesure pas à la barbe

Lysimon : Le second de mes fils n'est qu'une franche idole ; Vous le savez. - Pyrante : Eh bien ? - Lysimon : J'en ai fait un abbé