Citations sur destouches

Sinon, gare l'instant de la conclusion

Chacun est prosterné Devant les plus heureux ; sont-ils dans la misère, On les plaint tout au plus....

Épargnez-vous, marquis, ces froides railleries

D'où lui vient une telle boutade ? Et qui peut m'attirer cette sotte incartade ?

Comment pouvez-vous être assez tranquille pour me plaisanter dans l'état où nous nous trouvons ?

Cette migraine-là vient bien subitement ! C'est moi qui l'ai donnée indubitablement

Il y a quatre cents ans que, dans ma famille, nous sommes gueux de père en fils, pour n'avoir pas voulu nous mésallier

Je viens donc vous jurer que vous avez en moi Un protestant tout prêt à vous donner sa foi

De tant d'objets divers mon âme est obsédée, Qu'à force de penser elle n'a plus d'idée

....Un menteur qui n'a pas de mémoire Se décèle d'abord ...

Le marquis : Je suis sec, abîmé, mais parbleu J'ai deux bons appuis. - Cléon : Qui ? - Le marquis : Les femmes et le jeu

C'est alors que sied l'art de la minauderie ; Sur l'arrière-saison l'art de la pruderie Convient....

Quoi ! par un feint amour vous m'auriez donc leurrée !

J'ai trouvé le moyen d'apprivoiser le diable ; j'en ai fait un mouton

Je suis seul en ce lieu sans être solitaire, Et toujours occupé sans avoir rien à faire

C'en est fait ; je vois bien que mon heure est venue

Moins j'aurai de pareils, et plus j'aurai raison

Le comte de Tufière est-il ici, mon coeur ? - Oui, monsieur, le voici. - Cher comte, serviteur

Ah ! vous allez lâcher quelque fadeur

Ah ! le beau médecin de neige avec ses remèdes

Je sais ce que c'est que ces états-là ; j'y ai passé

Pour une fille qui vient de Paris, voilà des révérences bien gauches

Bonjour, maman trop adorable, On a beau vous chercher, vous êtes introuvable

Que Damon ne vient-il ? mais vous ferez l'oison, Sitôt qu'il paraîtra....

Nous parlerons à fond quand j'aurai bu deux coups