Citations sur dider.

C'est Ajax, fils d'Oïlée, le bras gauche passé dans son bouclier

De là il envoya ses disciples dans toutes les Indes, où ils répandirent sa doctrine

Auguste eut le discours prompt et facile qui convient à un souverain

Peut-être la constitution lâche, molle et replète étant bien d'un Silène, d'une bacchante et d'autres êtres crapuleux, conviendrait-elle tout à fait dans une bacchanale

Ce Dion était de Nicée en Bithynie, il s'occupa toute sa vie à décrier le mérite qui l'offusquait

Un des jolis tableaux du Salon, si les têtes étaient vigoureuses

Dans cette année malheureuse [1757], M. de la Rochefoucauld sacrifia soixante mille francs à faire travailler tous les habitants de sa terre

Ils [les hommes] croient qu'elle [la vertu] est à leur disposition, et qu'on devient honnête homme du jour au lendemain ; ils gardent leur linge sale, tant qu'ils ont des vilenies à faire, et ils en font toute leur vie

Le présent est un point indivisible qui coupe en deux la longueur de la ligne infinie

La condition de sage est bien dangereuse : il n'y a presque pas une nation qui ne soit souillée du sang de quelques-uns de ceux qui l'ont professée

Surtout donne de la profondeur à ta scène ; que tes figures ne soient pas, à mes yeux ; des cartons découpés

Toutes les billevesées de la métaphysique ne valent pas un argument ad hominem

Il y a trois sortes de substances, deux naturelles, dont l'une est corruptible, comme les animaux, et l'autre sempiternelle, comme le ciel ; la troisième immobile

Anicet investit la maison [où Agrippine s'était réfugiée], les portes en sont brisées

La morale est la science des lois naturelles, ou des choses qui sont bonnes ou mauvaises dans la société des hommes

Les historiettes vont à merveille dans la bouche.... d'un homme qui semble.... marcher en dandinant et nigaudant

Ceux qui font des transparents se sont servis de tout temps de la cire dissoute par l'essence de térébenthine

Y étiez-vous lorsque le castrat Cafarielli nous jetait dans le ravissement ?

Eliezer confirme cette pensée ; car il introduit Dieu, qui ouvre à l'homme le chemin de la vie et de la mort, et qui lui en donne le choix

Ce traité [de la Providence, par Sénèque] finit par une prosopopée de Jupiter à l'homme vertueux ; elle est très éloquente

Les passions amorties dégradent les hommes extraordinaires

C'est en vain qu'il [Sénèque] se propose de lier son élève [Néron] à l'exercice de la clémence et à la pratique des vertus

La mort d'un ami ravit à l'homme vertueux un témoin de ses vertus

La vie, le sang et son incarnat transpirent à travers

Maman, bonne, humaine.... heureuse comme le sont presque toujours les personnes prudentes