Citations sur paul scarron

Il jouait les rôles de confidents.... et se farinait à la farce

Elle prend messire Énéas, Et, le tiraillant par le bras, Le promène dedans la ville

Cela fit le conseil résoudre D'envoyer vers Monsieur Phébus, Qui ne parle que par rébus

Pour discourir de la vertu, Il avait l'esprit fort pointu

Près de lui [en enfer] sont les parasites Rongés lentement par les mites

Il y avait quelque sort jeté sur ce malencontreux animal [un cheval]

Je lui dis : homme qui refuse Ordinairement après muse

Enfin, à force d'avaler, ils se soulèrent

Les patineurs sont très insupportalles, Même aux beautés qui sont très patinables

La prêtresse en voix de fausset Devant la porte de l'église Hucha les gens du fils d'Anchise

Les pauvres comédiennes essayèrent souvent de se déprendre les mains ; mais il tint toujours si ferme qu'elles eussent autant aimé avoir les osselets

Pour Mars, il prenait du petun, Méprisant tout autre parfum

Mais ne seriez-vous point ce maudit renifleur, Ou du moins le parent de ce mauvais railleur ?

À ce Turnus dont le bien monte à dix mille écus, à bon compte

Il joua longtemps de son fifre, De son tambour tambourina

Si ce n'est qu'ils ont le visage Un peu tanné, sauf votre honneur

D'une casaque donc fort riche, Grand signe qu'il n'était pas chiche, Cloanthus il rémunéra

Que le feu Saint-Antoine les arde ! dit la tripotière

Ils parlent tous à tue-tête

Souvent, durant la nuit obscure, Un oiseau de mauvais augure, Nommé chat-huant ou hibou, Concerte avec un gros matou

Voici ce que dit par un trou En rimaille assez mal tournée La déité questionnée

Or Neptune, dieu débonnaire, Quoique souvent il fasse faire à maints vaisseaux le soubresaut

Avec lui marchait son fils Lauze, Jouvenceau frais comme une rose.... Rude danseur de tricotets, Musicien d'air et de motets, Adroit joueur de quinquenauve, Mais d'un poil tirant sur le fauve

Il y trouva une assez bonne hôtellerie, parce qu'elle était sur le grand chemin

Que pourrais-je durer contre un tel matamore ?