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Le bon plaisir de l'usage, maître absolu des langues
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 258617)
Il ne s'y trouve pas [dans Racine] un mot nouveau, c'est-à-dire pas un de ces mots qui se faisaient de son temps, comme il s'en est toujours fait et comme il s'en fera toujours
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 179483)
Ces sortes de hardiesses font un merveilleux effet dans la poésie, lorsqu'elles sont placées à propos de loin à loin
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 165227)
Le sujet à qui convient la possession, si par accident ce n'est pas une personne, est cependant regardé toujours comme une personne
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 308411)
Faites qu'en ce moment je lui puisse annoncer Un bonheur où peut-être il n'ose plus penser : j'avoue que les poëtes n'oseraient dire auquel, et que ce pronom est ordinairement remplacé avec élégance par l'adverbe où ; mais pourtant il me semble qu'un bonheur où je pense ne se dit point ; vous le demanderez à l'usage
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 213741)
Je n'entends qu'erre partout, en supposant qu'on ne fera pas mal à propos et contre l'usage sonner les s d'airs et de mers, où elles ne sont que signes de pluriel
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 241386)
"Ma colère revient, et je me reconnois ; Immolons en partant deux ingrats à la fois, RAC. Mithr. IV, 5". L'usage, dès le temps de Racine, avait décidé qu'il fallait toujours prononcer je reconnais ; et, par conséquent, l'autre prononciation [celle comme fois] ne doit être regardée, dans Racine, que comme on regarde les archaïsmes dans Virgile
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 220826)
Pour obéir à l'oreille, jamais ne négligeons le nombre, mais varions-le souvent
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 212681)
On ne saurait être trop réservé à faire des règles générales ; et cela me regarde plus que personne ; mais pourtant notre syntaxe ne se fera pas toute seule, Vaugelas ne l'a pas épuisée, à beaucoup près
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 312144)
La charge de secrétaire perpétuel n'avait encore vaqué depuis l'établissement de l'Académie que trois fois ; et M. Conrart avait succédé à M. de Mezeray, et à celui-ci M. l'abbé Regnier
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 235485)
Il produisit coup sur coup divers ouvrages qui certainement devaient lui faire honneur
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 192880)
Par nos grammairiens, qu'il faut nommer suivant leur ordre d'ancienneté, j'entends Vaugelas, Ménage, le P. Bouhours, et M. l'abbé Régnier ; voilà du moins les plus célèbres
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 141773)
Les bienfaits de M. le duc de Bourgogne épargnèrent à la France et la douleur de perdre un si excellent homme [la Fontaine] et la honte de ne l'avoir pas arrêté par de si faibles secours
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 125258)
Le sentiment, guide aussi sûr, disons incomparablement plus sûr qu'un savoir mal digéré
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 113998)
En parlant d'une chose inanimée ou de quelque bête, sans qu'il y ait rien qui la personnifie, on doit remplacer le pronom possessif par les particules destinées à cela, en ou y, qui sont mises elles-mêmes au rang des pronoms ; témoin ce proverbe : Quand on parle du loup, on en voit la queue
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Plus sur cette citation >> Citation de D'OLIVET (n° 316269)
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