Citations sur collin d'harlev.

Souvent ces dehors froids cachent des coeurs sensibles

Hé bien ! mon cher monsieur, êtes-vous délassé ?

Ensuite à l'emploi de portier J'ai, comme de raison, joint un petit métier ; Une loge ne peut occuper seule un homme

Au milieu de la nuit ! quel tapage vous faites !

C'est le chemin, je crois, pour aller en Provence. - Eh mais, quand il faudrait se détourner un peu, Cent milles de chemin ne sont pour moi qu'un jeu

Sans cesse autour de moi l'on passe, l'on repasse ; C'est un mot, un coup d'oeil, et cela me délasse

Quant à moi, je ne suis malheureux qu'à demi ; Car, si je perds un gendre, il me reste un ami

En ce petit garçon On voit le dindonnier, le page et l'échanson

....Allez, son gros bon sens Saura déconcerter tous ces mauvais plaisants

Vous voulez doucement m'annoncer mon arrêt

.... Pourtant il faudrait, entre nous, Ou n'être point volage on n'être point jaloux

On n'a pas plus d'esprit, de grâce....

Menacer, m'emporter, quelle imprudence extrême ! J'en avertis Ambroise, et j'y tombe moi-même

La demande est un peu familière

Et leur rendre, à mon tour, malice pour malice

Et.... le premier des biens, la médiocrité

Cette imposante entrée, Cet antique château, ces bois silencieux, Dont la cime paraît se perdre dans les cieux

Et.... sans l'attachement, monsieur, que j'ai pour vous, à coup sûr, je serais déjà remariée

Ce n'est pas seulement sa douceur qui me touche ; C'est qu'elle a de la grâce, un choix de termes purs

Pour celui qui vint hier deux heures après nous

M. Saint-Firmin : Rien n'est juste pourtant comme la représaille. - Eusébie : Nous voulons bien railler, mais non pas qu'on nous raille

Son entretien sera moins coûteux en province, Lui dis-je, chargez-m'en ; l'entretien fut très mince

Dubriage : Mais cela te dérange. - George : Un peu ; mais le plaisir.... Il faut bien se donner un moment de loisir

Je ne sais, mais d'abord il est bien prosaïque

Dans ce que je suis, moi, je mets toute mon âme ; J'étais tout à la guerre, et suis tout à ma femme