Citations sur collin d'harlev.

Eh oui ! votre réception Me touche, me pénètre ; elle est et noble et franche : Ne pourrai-je chez moi prendre un jour ma revanche ?

Souvent ces dehors froids cachent des coeurs sensibles

C'est le chemin, je crois, pour aller en Provence. - Eh mais, quand il faudrait se détourner un peu, Cent milles de chemin ne sont pour moi qu'un jeu

Dans mon carnier ils [un lièvre et un perdreau] sont encore ensemble, Et je prétends qu'un jour la broche les rassemble

Il s'emporte d'abord ; Il me tient des propos.... et devant George encor !

Dubriage : Mais cela te dérange. - George : Un peu ; mais le plaisir.... Il faut bien se donner un moment de loisir

Il me vient un projet d'une grande importance, Et qui me rit

Et leur rendre, à mon tour, malice pour malice

Menacer, m'emporter, quelle imprudence extrême ! J'en avertis Ambroise, et j'y tombe moi-même

Saint-Firmin : Vous étiez déjà de la famille, trop aimable orpheline. - Mme Dolban : Allons, point de fadeur

Oui, l'un de ces matins, je lui dirai deux mots

Mais qui peut du tonnerre expliquer les effets ? Impossible est un mot que je ne dis jamais

Au milieu de la nuit ! quel tapage vous faites !

.... Telle femme est charmante, entre nous, Dont on serait fâché de devenir l'époux

M. Saint-Firmin : Rien n'est juste pourtant comme la représaille. - Eusébie : Nous voulons bien railler, mais non pas qu'on nous raille

Quant à moi, je ne suis malheureux qu'à demi ; Car, si je perds un gendre, il me reste un ami

Ce n'est pas seulement sa douceur qui me touche ; C'est qu'elle a de la grâce, un choix de termes purs

Dieu dit : multipliez et croissez à l'envi ; Nul précepte jamais n'a mieux été suivi ; Et l'on continuera sûrement de le suivre

Son entretien sera moins coûteux en province, Lui dis-je, chargez-m'en ; l'entretien fut très mince

....Allez, son gros bon sens Saura déconcerter tous ces mauvais plaisants

Enfin, quoiqu'il n'eût pas besoin de secrétaire, En cette qualité monsieur l'a retenu

Sans cesse autour de moi l'on passe, l'on repasse ; C'est un mot, un coup d'oeil, et cela me délasse

En ce petit garçon On voit le dindonnier, le page et l'échanson

Reste encore un neveu, mais un neveu tenace

À la nuit, au hasard, que je dois rendre grâce ! De détours en détours m'amener jusqu'ici ! C'est conduire fort bien que s'égarer ainsi !