Citations sur collin d'harlev.

Dans ce que je suis, moi, je mets toute mon âme ; J'étais tout à la guerre, et suis tout à ma femme

[Il] Dérange les fauteuils, dépend lustre et tableaux

Ce n'est pas seulement sa douceur qui me touche ; C'est qu'elle a de la grâce, un choix de termes purs

C'est le chemin, je crois, pour aller en Provence. - Eh mais, quand il faudrait se détourner un peu, Cent milles de chemin ne sont pour moi qu'un jeu

.... Telle femme est charmante, entre nous, Dont on serait fâché de devenir l'époux

Il [un bâtiment] est un peu gothique ; Mais je rajeunirai cet édifice antique

J'entends une retraite isolée et profonde, Et non celle où toujours le voisinage abonde

Ah ! nous verrons un peu S'ils feront déguerpir la nièce et le neveu

Pour celui qui vint hier deux heures après nous

Vos soins me préviennent toujours. - Il est tout naturel qu'ainsi l'on se prévienne

Dieu dit : multipliez et croissez à l'envi ; Nul précepte jamais n'a mieux été suivi ; Et l'on continuera sûrement de le suivre

Sans cesse autour de moi l'on passe, l'on repasse ; C'est un mot, un coup d'oeil, et cela me délasse

Son entretien sera moins coûteux en province, Lui dis-je, chargez-m'en ; l'entretien fut très mince

Ensuite à l'emploi de portier J'ai, comme de raison, joint un petit métier ; Une loge ne peut occuper seule un homme

Reste encore un neveu, mais un neveu tenace

La demande est un peu familière

Je n'en puis trop juger, je ne l'ai qu'entrevu

Et leur rendre, à mon tour, malice pour malice

.... ainsi travailler sans relâche ! Mais quelle tâche ! - Il est une plus rude tâche, Et c'est de ne rien faire

Vous êtes fraîche, et moi je ne suis pas très vieux

En ce petit garçon On voit le dindonnier, le page et l'échanson

Par un seul domestique on est bien mieux servi

Saint-Firmin : Vous étiez déjà de la famille, trop aimable orpheline. - Mme Dolban : Allons, point de fadeur

Enfin, quoiqu'il n'eût pas besoin de secrétaire, En cette qualité monsieur l'a retenu

On n'a pas plus d'esprit, de grâce....